1. Découverte fortuite et inattendue


    Datte: 21/03/2019, Catégories: hh, jeunes, copains, Collègues / Travail vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, init,

    C’est une vieille histoire, une histoire vraie qui m’est arrivée il y a un peu plus de 30 années, déjà. Une histoire que j’ai longtemps gardée dans mon jardin secret et passée sous silence, par honte sans doute au départ, et puis peu à peu comme un souvenir de plus en plus assumé, ce qui me permet aujourd’hui de la raconter. À cette époque, j’avais environ 20 ans, et en ce mois d’août de cette année-là j’étais animateur dans un centre aéré. J’adorais ce métier tant par le sentiment de vraiment apporter quelque chose aux jeunes que nous encadrions, mais aussi par les rencontres multiples et diverses que je pouvais faire auprès des autres animateurs et animatrices issus d’origines et de milieux différents. Nous étions dans l’Ain, et la plupart d’entre nous devaient dormir sur place dans des espèces de chambres collectives d’environ 3 à 4 lits. Le soir, une fois les enfants partis, nous nous retrouvions entre nous à préparer le lendemain, mais aussi à nous amuser comme peut le faire un groupe de jeunes garçons et filles du même âge. Nous jouions à des jeux idiots, profitions de la piscine du centre, en flirtant ou plus. En ce qui me concerne, timide, d’un physique anodin, même si le désir que j’éprouvais pour mes collègues féminines en maillot pouvait de temps en temps montrer le bout de son nez – enfin, façon de parler – je ne tentais rien, persuadé de ne pouvoir séduire. Je le vivais bien, le plaisir d’être ensemble et de rire était suffisant à mes yeux. Cependant, le ...
    ... dernier soir, nous avions prévu d’aller au resto tous ensemble afin de fêter la fin des séjours au centre. Je dois dire que je me souviens juste du vin… de l’Apremont, tellement j’en ai bu, à un tel point que ce soir-là j’ai pris l’une de mes plus « belles » cuites. Trop éméché pour continuer la soirée, les autres avaient prévu de prolonger en boîte, je crois ; je devais donc rentrer à pied, le resto n’étant distant que d’un ou deux kilomètres du centre aéré. L’un de mes collègues que j’appellerai Éric (je ne me souviens plus de son prénom) prétendit ne pas être très intéressé par la suite de la soirée, et il proposa de me raccompagner. Éric, c’était pour moi juste un collègue rencontré au centre aéré. Vous dire s’il était beau ou pas, j’en serais incapable, d’une part parce que le physique des hommes, je n’y faisais pas attention, et d’autre part parce que je ne m’en souviens plus non plus. Ce que je sais, c’est que nous avions 20 ans et que nous étions des jeunes hommes sportifs, pas trop mal dans leur peau. Je me souviens avoir beaucoup titubé jusqu’au centre ; je me souviens que je devais parler beaucoup, comme un ivrogne. Nous sommes arrivés dans la chambre. Alcoolisé comme je l’étais, je me dévêtis sans faire attention à la présence d’Éric. Je me suis allongé sur un des lits – le mien, je suppose – et je ne sais pourquoi j’ai dû commencer à me caresser. J’avais envie de jouir, une envie frénétique, difficile à satisfaire à cause de mon état. J’avais mon sexe en main, ...
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