Découverte fortuite et inattendue
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
hh,
jeunes,
copains,
Collègues / Travail
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
init,
... l’astiquant sans pudeur, une envie folle de jouir. Dans un brouillard, j’ai vu Éric s’asseoir sur le lit et sortir son sexe, un sexe droit, tendu, un peu similaire au mien d’une taille moyenne ; une belle bite, bien proportionnée. Il a commencé à se masturber ; je voyais son gland luisant que le va-et-vient de sa main découvrait par intermittence. Je me suis trouvé dans un état d’excitation extraordinaire que je n’explique pas. Mes mouvements étaient désordonnés ; j’étais allongé sur le dos me branlant, les jambes écartées, l’autre main écartant mes fesses… J’avais une envie furieuse qu’Éric me touche, me caresse, mette sa main sur moi, sur mes fesses. J’avais envie de toucher sa queue, de l’approcher… d’écarter ses belles fesses fermes, de dévoiler son intimité, de toucher son anus, d’y introduire un doigt. Envie de le sucer aussi… Je voyais ses couilles poilues et pleines. Je tendis ma main libre vers elles avec un besoin irrésistible de les soupeser, de les caresser. Éric, par des gestes brusques, m’empêchait de l’atteindre : comme pour moi, cela devait être sa première expérience, je suppose. Fatigué par l’alcool et par mon incapacité à jouir dû à mon état, je pense, de temps à autre j’abandonnais ma queue. Alors Éric la prenait en main et continuait à me branler ; j’adorais ça, mais insatisfait de nouveau je reprenais les choses en main, si je puis dire. Éric, avec sa main libre me caressait les couilles, puis mon petit trou. J’écartai encore plus les jambes et les ...
... fesses, complètement subjugué par ses caresses qui me donnaient des sensations différentes de ce que j’avais pu jusqu’alors connaître de mes partenaires féminines. Il a porté son majeur à la bouche puis a recommencé à me caresser l’anus, l’introduisant peu à peu dans mon cul. Je me souviens m’être cambré, redressant mes fesses pour faciliter ce doigté inconnu pour moi. Cette intromission qui ne dépassa pas une phalange, je crois, mais qui me procura une sensation surprenante augmenta mon désir de pénétration. Je sentais mon anus s’ouvrir et demander bien plus. Éric recommença à me branler avec sa main en laissant sa phalange entre mes fesses, ce doigt qu’il faisait aller et venir. C’était divin. Mais rien n’y faisait : l’alcool qui avait pourtant fait tomber toutes mes inhibitions serait aussi la raison principale qui m’empêcherait de jouir de caresses nouvelles et inconnues de moi ce soir-là. Au bout de quelques longues minutes, Éric, n’y tenant plus, me plaça sur le lit de façon à pouvoir se branler au-dessus de mon torse. Avec son gland humide il vint caresser mes tétons alors qu’obstinément et de plus en plus vite je continuais, fou d’excitation, à me branler. Je me souviens du long jet de sperme sortant de la bite de mon partenaire qui atterrit sur ma poitrine ; je me souviens de son râle de plaisir… En ce qui me concerne, je fus incapable de jouir. Éric quitta la chambre. Le lendemain, j’étais honteux. Avec Éric, nous étions partenaires sur le même groupe de jeunes. ...