Le modèle (1)
Datte: 22/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... désirable, si belle avec eux… Ça fait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. J’avais beaucoup perdu d’estime de moi depuis que mon ex s’est tiré au loin. Je me sens bien ici ; je n’ai pas envie de retourner tout de suite chez moi, retrouver mes problèmes quotidiens et me sentir abandonnée. Bien sûr, j’ai hâte de revoir ma fille, mais je sais qu’elle est en de bonnes mains. Là, je me sens exceptionnelle et libre. Tous leurs compliments ont réveillé en moi mon goût et ma soif de plaire. Et puis, au pire, qu’est-ce que je risque ? Je suis dans une école d’art... Je sors finalement mon téléphone de mon sac à main et compose le numéro de ma mère. — Allô, maman, oui c’est moi. J’appelais pour te prévenir qu’ils ont eu un problème à l’école pour leur cours du soir. Leur modèle a annulé au dernier moment ; du coup, ils m’ont demandé si je pouvais le remplacer. Je ne rentrerai donc pas tout de suite. À ce soir. Tandis que j’explique cela à ma mère, je défais ma ceinture et me débarrasse de ma robe de chambre. Les trois garçons ont l’air ravi. Une douce chaleur me chauffe le ventre. Je me sens nerveuse. Je n’aurais peut-être pas dû accepter… Trop tard : ce qui est fait est fait ! Je raccroche, puis les garçons installent une couverture et quelques coussins au centre de la salle. Ils se munissent de crayons et de carnets de croquis pour finir par s’asseoir sur des tabourets placés proches de moi. Je m’installe sur la couverture. Le blond me dit de choisir mes poses, de changer quand ...
... j’en ai envie, et surtout de me laisser aller. Je commence par une pose allongée plutôt sage pour le moment. J’enchaîne sur plusieurs poses assises avant de m’allonger de nouveau, de m’étirer de tout mon long. Les garçons gribouillent et me dévorent des yeux. Assis sur les grands tabourets, ils me dominent. Leurs regards sur moi sont bien moins sages que lors du cours. C’est vrai que, contrairement à tout à l’heure où c’était dans un cadre scolaire, là, je pose rien que pour eux. Ce nouveau cadre a fait aussi grimper mon état d’excitation. J’aime l’effet que je leur procure. J’aimerais bien me lâcher plus, les provoquer, mais je dois avouer que j’ai peur et que je n’ose pas aller trop loin. C’est une nouvelle fois le beau gosse qui va me pousser à faire un pas de plus. Il quitte son siège pour s’approcher de moi, puis d’un « Puis-je ? » il s’autorise sans même attendre de réponse à poser ses mains sur mes cuisses et à les écarter un peu plus. Je le laisse faire sans réagir. Ce bref contact m’a électrisée, et j’ai rêvé d’un peu plus. Les garçons continuent leurs œuvres. Ils ont désormais une belle vue sur mon intimité. Discernent-ils la cyprine qui humidifie mes lèvres intimes ? Honte et plaisir se mélangent en moi. À chaque nouveau changement de position, c’est désormais le blond qui me guide. À chaque fois, le contact de ses mains se fait plus pressant, plus long, plus proche de mon intimité. Les poses qu’il me choisit sont de plus en plus osées et mettent à tour de rôle mon ...