1. Juste un avant-goût du registre BDSM


    Datte: 24/03/2019, Catégories: fh, jouet, jeu,

    ... vous plaît. La pièce où nous sommes est entièrement carrelée, depuis le sol jusqu’au plafond. Elle est presque vide sauf dans un angle aménagé à l’instar d’une cuisine ou d’un labo avec paillasse et évier. Sur la paillasse, une étuve et divers ustensiles et équipements dont je ne connais pas l’usage. Une cabine de douche est également visible, plus incongrue en ce lieu, que l’immense vitrine dans laquelle sont exposés une panoplie impressionnante de godes en tous genres et d’autres gadgets parmi lesquels je crois reconnaître des tit-suckers. Maîtresse Nato, m’installe dos sur le plateau capitonné, bassin légèrement surélevé, cuisses ouvertes, les pieds dans des étriers, comme pour un examen gynécologique. Elle ajuste les fixations et fait en sorte de m’immobiliser dans cette pose. Je ne peux plus remuer ni jambes ni bras, seule ma tête reste mobile, je peux la tourner à droite ou à gauche ou la soulever si j’en éprouve le besoin. J’ai toujours la cagoule, mais plus de bâillon, je fais mouvoir mes mâchoires pour les assouplir et jouir du soulagement, ma diction est à nouveau normale. — Vous êtes obligée de m’attacher ?— C’est le protocole sur cette machine, et tu es priée d’ajouter Maîtresse Nato, quand tu m’adresses la parole sinon tu seras punie.— Oui, Maîtresse Nato. Je pourrais sans doute épier ma tortionnaire, mais je préfère me retirer dans ma carapace. Je ferme les yeux, et fais le vide dans ma tête, prête à toutes les surprises. En attendant, j’écrase autant que je ...
    ... peux, mes fesses meurtries sur le cuir du plateau, exacerbant la sensation. Elles ne sont plus autant douloureuses, mais encore assez pour me remémorer le souvenir du plaisir que j’ai eu. J’espère en avoir davantage encore avec la sex-machine dont on m’a dit grand bien. Maîtresse Nato a enfilé des gants de latex, je le devine au toucher bien particulier sur mes fesses, elle m’enduit l’anus d’un lubrifiant et s’emploie à assouplir les sphincters. Elle ne me ménage pas, mais ne me brutalise pas non plus. Elle procède froidement, d’une manière que j’ose qualifier de professionnelle. Lorsque l’assouplissement lui paraît suffisant, elle introduit un gode à la consistance souple, il glisse et pénètre à l’intérieur de mon fondement. Changement de gants, ladomina ne plaisante pas avec l’hygiène, je suis impressionnée. Elle vérifie la lubrification du vagin, puis teste la réactivité du clitoris, qu’elle agace de son doigt gainé de latex tout neuf, deux ou trois fois, avant de poser sa question. — Je t’en mets un gros ?— Euh… pas trop, modéré-je, soucieuse de ne pas courir de risque, même si le fantasme du gros machin me taraude. Je m’avise après coup que je manque à tous mes devoirs, et m’empresse de renouveler les marques de respect dues à mon accompagnatrice, en espérant qu’il ne soit pas trop tard — … s’il vous plaît, Maîtresse Nato.— Je mets du gel sensibilisant, tu vas aimer, m’annonce-t-elle sur un ton aimable, sans faire cas de mon manquement. L’onguent a un effet légèrement ...
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