1. Juste un avant-goût du registre BDSM


    Datte: 24/03/2019, Catégories: fh, jouet, jeu,

    ... plus. Il bande encore, un chapiteau révélateur déforme le devant de l’ample pantalon de toile. Une bandaison sympathique, lui-même est sympathique, l’envie de rire me reprend, je pouffe malgré moi, et manque m’étrangler du fait de ce maudit bâillon. Une pensée fugace me traverse l’esprit : j’ai envie de l’embrasser. Croquons la pomme ensemble, que j’ironise pour moi-même, m’esclaffant à nouveau, forcément en silence, un silence relatif s’entend. Mes mâchoires commencent à me faire mal. Maîtresse Nato prévient ma tentative pour me débarrasser du bâillon, et s’en irrite. — Tu n’es rien, même si tu es une parente de Nathalie, tu n’es rien, une moins que rien, ne l’oublie pas, maugrée-t-elle, en m’imposant de garder les bras près du corps. ________________________________________ Je garde mon bâillon puisqu’elle le veut. Nathalie a insisté, docilité et respect sont les meilleurs garants du bon déroulement des épreuves. Jusqu’à ce stade, rien à dire, elles m’ont été infligées selon le programme et les protocoles convenus. Certes le martinet était un tantinet trop clément, je n’ai pas eu l’impression de subir un châtiment, mais la soi-disant punition qui a suivi était en revanche tout à fait à mon goût. J’en ai encore les fesses délicieusement endolories. Si je dois remplir une grille de satisfaction, graduée de un à dix, je cocherai assurément une note élevée. Il me reste une épreuve à subir. Nous avons atterri dans une grande salle en sous-sol, sans fenêtre. Une « sex-machine » ...
    ... trône au milieu de la pièce. J’attendais quelque chose de lourd, je ne suis pas déçue. Rien à voir avec lesfucking-machine que l’on voit sur Internet à moins de mille euros, chez C-Discount, Price-Minister ou Amazon. Celle-ci pèse allégrement un bon paquet de fric, mesurée à l’aune de la masse du bâti. Le monstre est en outre équipé d’une mécanique rutilante et sophistiquée, d’où émergent des tringles, des axes et des tuyaux. Nathalie m’en avait parlé, prétendant que la machine avait été fabriquée dans la même usine que la « Fuckzilla », un robot sexuel qui paraît-il, aurait fait grand bruit il y a quelques années. Depuis Magnus Hirschfeld, ce médecin allemand, qui le premier étudia la sexualité humaine sur des bases scientifiques et dans sa globalité, la stimulation érotique par des moyens mécaniques préoccupe nombre de sexologues. Des cinéastes aussi, et non des moindres, tel Roger Vadim et sa machine à excès dans « Barbarella », ou Woody Allen et son orgasmotron. Personnellement, je n’ai encore jamais essayé de sex-machine, mais à voir les témoignages, je me dis qu’il y a là une lacune que je me dois de combler. L’actrice américaine Jenaveve Jolie ne tarit pas d’éloges, il me plaît de la citer, car nous sommes nées la même année, elle en Californie, moi en Auvergne, mais il y a surtout qu’on peut penser qu’elle sait de quoi elle parle, vu ses références, ne figure-t-elle pas dans le célèbre classement : « Top 100 Hottest Porn Stars » et dans les trente premières places s’il ...
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