Juste un avant-goût du registre BDSM
Datte: 24/03/2019,
Catégories:
fh,
jouet,
jeu,
... ne sais quelle magie est à l’œuvre, j’imagine que les croisements sont plus brutaux, il s’ensuit des décharges proprement diaboliques. Ce n’est pas automatique ni prévisible, mais la probabilité est plus grande à vitesse élevée. La foudre fulgure, dévaste mes entrailles, tous mes muscles se contractent, ratatinés par l’éclair de souffrance, et l’instant d’après j’explose enivrée de félicité. Je ne suis pas fontaine, j’ignore comment c’est, mais je crois bien en avoir eu un avant-goût, j’ai l’impression d’avoir giclé. — Ah la salope, rouspète ladomina. Plus tard, mais encore trop tôt, « la garce » qui me traite de « salope », prend la décision de terminer l’essai, arguant qu’il est temps, qu’on a dépassé les temps, et je ne sais quelles autres conneries du même ordre. ________________________________________ Mon accompagnatrice récupère cagoule et chaussures, propriétés de l’association, et m’informe de la suite du programme. — Nathalie a demandé à Jean Luc de te reconduire à Clermont-Ferrand, il t’attend au parking.— Qui est Jean-Luc, Maîtresse Nato ?— Appelle-moi, Sylvie, Nato est mon pseudo ici, comme Paco est celui de Jean-Luc— J’ai le temps de me doucher ?— Fais vite ! Je fais vite, mais c’est encore trop, Jean-Luc est venu me rejoindre dans le vestiaire. Il m’attend face à mon compartiment. — C’est bien ce que je pensais, tu as un très joli visage. Les compliments font toujours plaisir, je ne boude pas le mien et souris. — En plus tu as un très joli sourire.— Merci, tu ...
... sais parler aux femmes, toi ! Ma familiarité est volontaire, histoire de voir, il ne bronche pas, parfait. — Sylvie m’a dit que tu te prénommais Jean-Luc, moi c’est Evelyne.— Enchanté Evelyne, ravi de faire ta connaissance.— Tu m’attends dans le couloir, le temps que je m’habille.— Tu peux t’habiller devant moi, je survivrai. Évidemment ! Inexplicablement, j’ai des pudeurs dès lors qu’on est de retour dans la vie civile. Je balaie mes réticences et laisse tomber la serviette, je suis nue. — T’es sacrément bien roulée. Que répondre ? Rien bien sûr, mais je ne m’en gargarise pas moins, ce qui ne m’empêche pas de préparer mes affaires, mettre mes dessous, string, soutien-gorge… — T’as un copain ?— Non, j’ai une amie.— Tu veux dire amie-amie ?— Oui, nous sommes homos.— Dommage ! Le temps de notre échange, j’ai enfilé le jean, et passé mon tee-shirt, me reste à chausser mes baskets. Lui aussi est comme moi en jean, tee-shirt et baskets. Comme moi, ses vêtements et ses chaussures ne sont pas du tout venant. Inutile de faire de la pub pour une marque ou pour une autre, mais chacun sait qu’il y a jean et jean, baskets et baskets. Il semble que sur ce point, lui et moi, on soit sur la même longueur d’onde. J’apprécie. On n’imagine pas combien il est difficile de bien s’habiller. Il m’a fallu des semaines pour trouver le jean que je porte, et la paire de baskets m’a coûté une fortune. Mon esprit décortique ceci et cela à dessein, parce que je ne suis pas pressée de mettre au clair la ...