1. Juste un avant-goût du registre BDSM


    Datte: 24/03/2019, Catégories: fh, jouet, jeu,

    ... pensée terrible que je rumine en arrière-plan. Jean-Luc pourrait-il être le père de ma fille ? Je ne connais rien de lui, sinon qu’il a une voix enjôleuse, et la main sèche quand il le faut, cela suffit-il ? ________________________________________ Il faut croire que la fièvre m’a dérangé l’esprit. Nous sommes dans son véhicule, il conduit. Je décide d’y aller franco, bille en tête. — Jean-Luc, je cherche un homme pour me faire un bébé. T’es partant ? La surprise est telle qu’il fait un écart. Il redresse et ralentit, avant de me répondre. — Tu cherches un étalon en somme ?— On peut voir les choses comme ça.— Tu sais que les saillies, ça marche pas à tous les coups ?— Je ne suis quand même pas tombée de la dernière pluie.— Qu’est-ce que ça cache ton truc ? T’es plombée ?— Parfaitement saine, je t’assure. Je te retourne la question, et toi ?— À ton avis ? Je sors toujours couvert.— Et tu accepterais de te découvrir ?— Et après ? Des histoires, reconnaissance en paternité, pension, et que sais-je encore, très peu pour moi…— Mais non, je t’assure. Je joue cartes sur table. Tu veux, c’est bien, tu veux pas, on va pas en faire un fromage.— Tu m’ôteras pas de l’idée que c’est pas franc ton truc.— Bon laisse tomber, j’ai rien dit, OK !— Ah, mais non, maintenant que tu m’as appâté, tu peux pas me laisser comme ça. Disant cela, il met sa main en coquille sur son entrejambe, c’est bien un mâle, on en vient toujours là. Ça me convient ! — Tu as quelqu’un ?— Non, je vis seul.— On peut ...
    ... aller chez toi ?— Oui, mais à condition que tu me soulages tout de suite, j’en peux plus.— Pas question, faut que tu gardes tes forces pour la bonne cause.— Suce-moi je te dis, sinon je fais pas demi-tour. Jean-Luc a débordé sur le bas-côté, amorcé le virage, puis il a arrêté son moteur. Il entreprend de dégrafer sa ceinture, puis de dégager son sexe, cela ne va pas sans quelques contorsions, vous imaginez bien. Le phallus est aussi gros que je présumais, chaud et vivant dans ma main. Il y a longtemps que je n’ai pas touché un sexe d’homme. Jean-Luc baisse le dossier de son siège et s’allonge avec pour résultat de nous donner plus d’aisance. Je dégage le gland, et tends le prépuce sur la hampe que je presse dans mon poing serré aussi fort que je peux. Je tiens le manche de mon éternité. Si je relâche un peu la pression, je ressens les palpitations du sexe au travers de ma paume. C’est magique, j’anticipe, et imagine le pouls du bébé dans mon ventre. Ai-je encore mes esprits ? Je n’en suis plus très sûre. Je me jette avec voracité sur le morceau, d’abord le gland puis le reste, j’avale et régurgite, je suce et je lèche, je l’aime et l’embrasse. Ma gourmandise ne connaît plus de limites, les poils pubiens, le liquide séminal, les testicules, la queue, tout fait ventre pour peu que ce soit comestible. Jean-Luc gémit doucement, il est à moi, rien qu’à moi. Sa main pèse sur ma tête, comme pour me guider, mais je n’ai nul besoin d’être guidée. J’ai calculé mon coup, lorsque les ...