Jeanne
Datte: 26/03/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
amour,
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... ce soupir de bonheur qui maintenant la caractérisait auprès de lui. Tenant toujours son clitoris de sa bouche, il le fit aller et venir lentement, longtemps, si longtemps qu’elle perdit la notion du temps et jouit plusieurs fois. Le plaisir s’accrut encore quand il osa un deuxième doigt, comme une promesse de sa possession prochaine. Ses doigts toujours en elle, il fit sauter d’un coup sec le bouton de son jean. Son membre se tenait, raide et droit, devant elle. Jeanne mouilla de sa langue ses doigts et le prit à pleines mains, comme pour faire connaissance. Elle le dirigea alors directement vers son sexe humide et offert, et il entra d’un coup, solide et droit. Lentement il allait en elle, elle se sentait emplie. Et pendant qu’il la possédait ainsi, il la transperçait de son regard pénétrant, ce petit sourire indéfinissable aux lèvres. Elle le regardait d’un air presque effaré, comme si tout ceci n’était pas réel, mais une telle jouissance ne pouvait être abstraite… Elle n’avait jamais connu de plus grand plaisir que celui-ci, alliage de mystère et de savoir-faire. Leurs corps s’assemblaient, se reconnaissaient comme par magie. Il n’y avait plus de limites, Jeanne sentait son corps tendu de plaisir sous les coups tout en souplesse de son étalon anonyme. Son sexe, comme son corps, était emprisonné sous ses caresses ; sa main semblait connaître par cœur les courbes du corps de Jeanne. De son autre main, le charmant garçon virevoltait ...
... de ses mains agiles sur le sexe de son amante, le pétrissait avec délicatesse, s’attardait dans les creux et les monts. Il caressait avec vivacité et douceur le petit bout plus tendu que jamais, gonflé de plaisir. Jeanne était alanguie sur la table d’écolier, pantelante de satisfaction ; aussi bien prise, elle n’avait plus ses esprits, et ce garçon qui continuait de la regarder presque fixement… L’expression de l’inconnu changea presque imperceptiblement. Jeanne sentit sa respiration s’accélérer progressivement. Il se mit, lui aussi, à gémir doucement, puis de plus en plus fort. Ses mouvements se firent plus longs, plus intenses et bientôt Jeanne elle-même sentit l’orgasme monter dans son corps, sous les coups de boutoir de son amant. Elle commença à crier, et l’entendit crier lui aussi. Ils jouirent ensemble, violemment, brutalement, comme s’ils avaient trop longtemps attendu cette délivrance. Lentement, Jeanne retrouva la raison. Le sexe de l’inconnu était toujours en elle, et elle aurait voulu le garder longtemps encore. Il releva la tête et la dévisagea comme on ne l’avait jamais regardée : avec respect, tendresse et amour, mêlés dans un sourire. Il se retira d’elle délicatement, et elle se reposa contre le mur. À peine eut-elle fermé les yeux, qu’elle entendit le garçon reboutonner son jean. Deux secondes plus tard, la porte grinçait et se refermait doucement. Elle ne revit jamais son improbable amant dans les couloirs de la fac.