L'ami d'enfance
Datte: 26/03/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
poilu(e)s,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Oral
... jusque sous la couette et la rejoignis en abandonnant mon slip devant le canapé. Je bandais vraiment très fort, et son côté femme sage un peu prude m’excitait terriblement. Je me suis glissé à mon tour sous la couette. Aussitôt, Isa s’est retournée, me présentant à nouveau ses fesses que je me suis de nouveau mis à caresser… Je me suis progressivement rapproché d’elle et je me suis collé contre son corps pour qu’elle sente bien mon érection contre ses fesses. Lentement, elle s’est retournée vers moi et m’a tendu ses lèvres. — Embrasse-moi encore, m’a-t-elle dit.— Oui, j’adore ta bouche… Je l’ai de nouveau enlacée et nos langues se sont mélangées… Au bout d’un moment, j’ai laissé ma main droite glisser vers son entrejambe et elle ne s’est pas dérobée… J’ai lentement découvert sa toison intime de mes doigts, enroulant les poils autour de mon index, puis je suis descendu plus bas vers ce fruit défendu qu’elle protégeait encore un peu. — Laisse-toi faire, Isa, lui murmuré-je à l’oreille.— Non, proteste-t-elle ; ce n’est pas bien, nous sommes déjà allés trop loin !— Mais non, ce n’est que le début. J’ai envie de te faire l’amour. Tu n’as pas senti dans quel état d’excitation ton petit manège m’a mis ?— Si, avoue-t-elle… Il n’y a pas que pour les pantalons que tu es plus large qu’Alex…— Éteins la lumière si tu n’aimes pas qu’on te voie, mais laisse-moi goûter à ce merveilleux fruit qui coule de désir entre tes cuisses…— Je ne veux pas, répond-elle tout en éteignant la lampe de ...
... chevet, ce qui pour moi signifiait son acceptation. Je caresse ses seins lourds et très excitants puis descends vers son ventre avec ma bouche. Arrivé à hauteur de sa toison, je m’y attarde longuement, caressant ses poils soyeux. Ma main descend ensuite jusque vers l’entrée de son vagin. Instinctivement, elle resserre les cuisses puis les ouvre de nouveau, me laissant la pénétrer de mon majeur. Elle est tellement trempée que je ne fais aucun effort pour la pénétrer, d’abord avec un doigt, puis avec deux. La caresse doit lui plaire car elle retire elle-même la couette et s’abandonne complètement en gémissant. Ma bouche rejoint mes doigts et, après quelques coups de langue furtifs sur ses grandes lèvres, je remonte vers son clitoris que j’aspire lentement. Je reste ainsi avec son bouton de plaisir dans ma bouche pendant de longues minutes. Je veux la faire jouir sans rien réclamer en échange. Non pas que je sois altruiste au point de délaisser mon propre plaisir, bien au contraire, mais cela me semble nécessaire pour qu’elle s’abandonne complètement. Une vague de plaisir monte en elle et elle se tord en râlant sous ma bouche. Elle vient de jouir. Lentement, je retire les bas qu’elle porte encore. Je trouve que cela lui donnait un air plus coquin, mais j’ai envie de sentir sa peau, de caresser ses jambes et de m’occuper de ses pieds. Elle se laisse faire, n’ayant cette fois plus aucune réticence à me laisser lever ses jambes et ne cherchant plus du tout à cacher son intimité. Je ...