1. Une soirée de réception. Le passé ressurgit 8


    Datte: 26/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Arrivée en haut des marches, en plein soleil, je fais une pose. Je tremble, le souffle me manque, mes oreilles bourdonnent. J'ai peur de mourir. Ils se sont arrêtés, eux aussi, silencieux. Je fais semblant de chercher dans mon sac, les pieds écartés, je les entends alors qui ricanent bêtement. Ils ont saisi l'aubaine. J’ai honte mais je ne bouge pas quelques secondes avant d’avancer sur le quai. Ils me suivent à distance toujours derrière moi. Nous sommes seuls à cette heure. Le train arrive. Je choisis une banquette isolée. Les deux jeunes me suivent. Je réalise que je suis en danger, qu'ils peuvent m'agresser, surtout après ce qu'ils ont vu. Ils prennent place quelques banquettes plus loin mais face à moi et tous les deux matent en ma direction sans se cacher. Je sors mon tel portable et fais semblant de jouer avec. Mais en fait toute mon attention est dirigée vers eux. Je n'en peux plus. Doucement, je serre les cuisses et commence à les frotter l'une contre l'autre pour tenter de me faire jouir. Mais la position est inconfortable. J'ai envie de plus. Je pose mon sac sur mon ventre et à peine dissimulée, je me caresse la chatte au travers du fin tissu de ma robe. Je n'ose pas regarder vers mes deux jeunes mais je sais qu'ils matent et qu'ils ont compris ce que je faisais. On arrive à destination avant que la jouissance me submerge. Quand je sors du train les deux jeunes me suivent quelques instants en ricanant puis partent de leur côté. Je les entends échanger des propos ...
    ... grivois à mon encontre. Je suis honteuse mais excitée. Je sens ma mouille entre mes cuisses. Ma culotte est trempée. Dans le métro il y a trop de monde mais je vois bien que plusieurs hommes et femmes me regardent avec avidité. Certains regards sont accusateurs et me condamnent. La honte encore, qui m'envahit alors, au lieu de me freiner, ne fait qu'encourager mon abandon à la luxure. Il est presque midi quand je me présente devant la boutique rouge à la devanture aveugle. J'ai peur. Je sais que je ne vais pas fléchir. Je ne peux pas fléchir ! J'ai trop envie d'obéir et de m'abandonner aux volontés de mes persécuteurs et du vendeur. Je tremble à peine en poussant la porte. Tout de suite, un jeune homme vient vers moi, un sourire sympathique aux lèvres. Il est beau et j'ai déjà envie de lui. J'obéis à la lettre aux injonctions de mes tortionnaires et j'imagine même qu'ils doivent être en train de me surveiller. Malgré ma tenue estivale j'ai veillé à paraître bourgeoise. L'homme a bien saisi cette nuance quand il s'adresse à moi plein de déférence. - Bonjour Madame. Puis-je vous être utile ? Je sens le rouge envahir mon visage. Le souffle coupé, je ne trouve rien à dire tellement l’émotion est forte. Il ajoute, ayant saisi mon embarras : - Je vous laisse regarder. Je reviendrai vers vous plus tard. Je souffle ! Je me promène entre les rayons pleins de jouets à destination SM. Je sens l’excitation monter plus en raison de la situation que de la vue de ces objets de plaisir. Je ...