1. De Papillon De Nuit à soumise (1)


    Datte: 26/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... heure-ci ? me demanda-t-elle. Je restai silencieuse tout en maintenant mon regard sur elle avec la même intensité. — Réponds, c’est dans ton intérêt... insista-t-elle. Elle alla allumer une petite lumière afin de mieux me voir ; ça me fit légèrement mal aux yeux, mais ca ne dura pas et elle me posa sans arrêt la même question. Mon silence dura et mon regard ne changea pas d’un iota, ce qui la rendit furieuse. Lorsqu’elle m’arracha violement le loup et qu’elle jeta à terre, je vis ses yeux s’écarquiller. C’est bien ma veine, elle était maintenant capable de m’identifier. — Voyez-vous ça... On dirait que j’ai surpris un petit poisson nager hors de son bocal ; et plutôt joli, qui plus est ! dit-elle en me faisant face et en posant sa main sur ma joue. — Fous-moi la paix, salope ! Bas les pattes ! criai-je en tentant vainement de me débattre. — Ah, ça y est : tu te décides enfin à l’ouvrir ? Bon, maintenant, crache le morceau ! Qui es-tu ? Et qu’est-ce que tu foutais chez moi en pleine nuit ? Pour toute réponse, je préparai un crachat que je lui envoyai en plein visage. Elle ferma les yeux ; un sourire diabolique se dessina sur son visage. Elle essuya ma salive du bout de ses doigts, les regarda, et me regarda dans les yeux en hochant de la tête avec un sourire malsain. — Monumentale erreur ! Elle me retourna la gifle la plus violente que j’aie pu recevoir, essuyant ses doigts par la même occasion. Elle était si forte que ma joue s’est mise à me piquer, et je sentais les larmes ...
    ... qui commençaient à monter. Elle était furieuse et me gifla de plus belle encore une fois. — Espèce de conne ! Comment as-tu pu oser me faire ça ? Je vais t’apprendre le respect, moi ! hurla-t-elle. Je me mis à pleurer. Elle sortit de la pièce pour en revenir quelques minutes plus tard avec une petite bassine pleine qu’elle posa à mes pieds. Je vis, malgré mes yeux pleins de larmes, que la bassine contenait de l’eau et beaucoup de glaçons. Puis elle sortit de nulle part un cutter qu’elle promena doucement sur mon visage. La panique me gagna immédiatement. — Je... Écoutez, je vous dirais tout ce que vous voulez savoir, bégayai-je, affolée ; mais s’il vous plaît, ne me faites pas de mal. Si j’ai été envoyée ici, c’est pour vous prendre le... — Ta gueule ! aboya-t-elle violemment, ce qui me fit sursauter. Tes histoires ne m’intéressent plus, désormais. Je vais te faire regretter ce que tu viens de faire, crois-moi... Où étais je tombée ? Visiblement, chez une folle furieuse ; mais hélas, je savais que personne ne viendrait m’aider, même pas ma mentor. Je commençais à crever de peur et je ne pouvais pas détacher mes yeux de l’objet métallique. — Arrêtez, s’il vous plaît ! suppliai-je, paniquée et larmoyante. — Tu as tort ; on arrive à ma partie préférée, me dit-elle avec un sourire en coin. Mais rassure-toi : tu ne crèveras pas. Tu vas juste comprendre qu’il ne faut pas manquer de respect aux gens. Elle découpa soigneusement ma tunique de mon col jusqu’à l’entrée de mon intimité à ...