1. De Papillon De Nuit à soumise (1)


    Datte: 26/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’aide de son outil tranchant. Je la regardais faire, horrifiée. Elle déchira tout le tissu qui recouvrait mes seins, mon ventre et ma vulve. Une fois qu’elle eût terminé, elle jeta son outil à terre et me regarda. Je commençais à avoir honte. — Voilà ; tu es mignonne comme tout, dis-donc... me dit-elle en souriant. Un peu maigrichonne, mais très mignonne ! Maintenant, je vais pouvoir m’amuser un peu... Elle prit deux glaçons qu’elle posa immédiatement sur mes mamelons. La froideur était terrible, et mes tétons se dressèrent rapidement. Elle en fit le tour pendant un bon moment. Je frissonnais ; mes tétons étaient glacés et durs comme de la pierre. Je trouvai ça très désagréable. Tout à coup, elle les remit dans la bassine, et sans prévenir elle me tordit les tétons entre le pouce et l’index. Avec le froid, ils étaient devenus hypersensibles, et elle le savait très bien. Elle tordait, pinçait ; la douleur était fulgurante ! Mes yeux s’écarquillaient, je ne pouvais pas me retenir de gémir de douleur. Je tentai de me débattre, de remuer, mais c’était peine perdue. J’en pleurais, tant la douleur était forte, quand elle décida enfin d’arrêter son manège. — Alors, est-ce que tu comprends maintenant ? me demanda-t-elle. — Pardonnez-moi, je vous en prie... Je ferai tout ce que vous voudrez, mais arrêtez : c’est insupportable ! l’implorai-je. — Vraiment tout ? interrogea-t-elle. — Oui, tout ! gmxgppct — On va voir ça... me dit-elle en quittant la pièce un instant pour revenir ...
    ... avec une cravache et un martinet. « Merde... Mais qu’est-ce qu’elle me réserve encore ? » J’allais vite être fixée. En effet, elle posa la cravache contre le mur, prit la bassine pleine d’eau glacée et m’arrosa de l’intégralité de son contenu. Je ne pus retenir un cri de surprise, et je grelottais après avoir été trempée. Elle se plaça face à moi, et d’un coup je sentis les lanières du martinet s’abattre sur mon ventre. Je sursautai de douleur ; il était trempé, ce qui accentuait les sensations. Elle me frappait toujours avec force ; mon ventre et ma poitrine étaient striés, douloureux, brûlants à cause des coups ; mais curieusement, une autre chaleur se formait en moi. Une chaleur d’excitation. « Non, ce n’est pas possible, pensai-je. Mon corps ne peut pas aimer ce genre de traitement, non, pas ça ! » Je priais de toutes mes forces qu’elle ne s’aperçoive de rien pendant que les coups pleuvaient ; mon visage était déformé par la douleur, les larmes me coulaient sur les joues, j’avais froid, je remuais comme pour tenter de m’échapper ; c’était un cauchemar ! Soudain, elle s’arrêta net. Je poussai un soupir de soulagement ; c’était terminé. Elle s’avança vers moi. — Si tu veux encore me cracher dessus ou faire le moindre geste susceptible de me foutre en rogne, je t’en prie, fais-toi plaisir, me dit-elle avec un sourire machiavélique. Mais tu subiras un châtiment bien plus difficile à encaisser, je te le garantis. Je baissai les yeux en signe de soumission. Je ne voulais plus ...