1. Avant de se dire adieu...


    Datte: 26/03/2019, Catégories: fh, fépilée, volupté, Oral pénétratio, tutu,

    C’est ta décision… nous nous voyons aujourd’hui pour la dernière fois. Tu avais ta vie, j’étais une parenthèse. Je le savais, mais ça fait mal… Tu m’as demandé un dernier rendez-vous, expliqué que tu voulais, une fois encore, me tenir dans tes bras pour nous inventer un dernier souvenir. Je ferais en sorte que ce dernier moment soit le plus beau, pour que tu ne l’oublies jamais, pas plus que l’un de nous n’oubliera notre premier baiser, sous un porche, par ce brûlant après-midi de juillet… Ce baiser… nos lèvres qui se sont trouvées sans même avoir à se chercher… nos corps aussitôt accolés, et ta virilité si dure contre ma cuisse, tes mains qui me caressaient… Tu m’avais rapidement entraînée dans un petit hôtel proche où, enfin, nous nous sommes aimés. Tout était si évident… et aujourd’hui, je te vois pour la dernière fois. Je ne sais pas comment je vais réussir à me passer de ton corps, combien de temps je pourrai retrouver l’odeur de ta peau, le goût de tes lèvres… Tu vas me quitter, me broyer le coeur, le réduire en miettes… Mais tu as raison : mon coeur est à toi, je te l’ai donné : tu peux en faire ce que tu veux. Tu voulais des souvenirs, je te donnerai des regrets. Ton plaisir, inoubliable, sera ma vengeance. Je te connais si bien… Déjà, ta voiture s’arrête le long du trottoir où je t’attends. Je monte, je me penche vers toi, et tu aperçois, dans l’échancrure de mon caraco, ce nouveau soutien-gorge en dentelle noire, dont je sais qu’il va te plaire… Tu m’embrasses ...
    ... langoureusement. Tes lèvres enfin… Je te rends ton baiser, puis je te murmure à l’oreille que j’ai complètement oublié de mettre quelque chose sous ma jupe. Je suis récompensée par ton sourire complice. Tu n’es pas au bout de tes surprises… La voiture démarre. Ta main frôle mon genou, s’aventure, si douce, le long de ma cuisse, remonte lentement vers mon intimité… Je bouge un peu pour te permettre de l’atteindre et, toi ordinairement si maître de toi, tu ne peux masquer ta réaction de surprise et de plaisir en découvrant sous tes doigts mon sexe lisse et doux, pour la première fois totalement épilé. C’était ton fantasme… Je te l’aurai offert. Cette double nudité me fait percevoir plus intensément toutes les sensations, et le simple contact du tissu de ma jupe laisse monter un trouble qui préfigure bien davantage… Pendant mon attente, à chaque frôlement indiscret d’un vent heureusement léger, c’étaient déjà tes caresses que je sentais… Tes doigts m’explorent lentement, s’attardent sur les pourtours de ma fleur dont je sais que tu brûles désormais de la déguster plus longuement, plus intensément que jamais ; ton pouce agace mon clitoris, mais, déjà, ta main doit m’abandonner, toute humide : tu as besoin de tes deux mains pour te garer, car nous sommes parvenus à destination… Nos doigts se sont enlacés pour gravir l’escalier étroit qui mène à ton appartement. Nos hanches se frôlent à chaque pas, et je sais que tu apprécies autant que moi ces moments d’anticipation, où se rencontrent ...
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