1. Avant de se dire adieu...


    Datte: 26/03/2019, Catégories: fh, fépilée, volupté, Oral pénétratio, tutu,

    ... laisser mes lèvres s’attarder sur ton ventre, sur ton nombril… Je pourrais passer des heures ainsi, à embrasser, à caresser ton corps partout, tendrement, passionnément… Mais ton désir se fait plus exigeant, et je descends encore, je sens ta virilité palpitante effleurer ma joue tandis que je vais embrasser tes cuisses avant de remonter très lentement… Tu gémis quand ma langue effleure tes testicules, suit la hampe de ton sexe dressé et en caresse doucement le frein, vient jouer tout autour, avant de l’engloutir, d’entamer un va-et-vient irrésistible, qui s’accélère peu à peu et te fait gémir. Je poursuivrai jusqu’au bout, jusqu’à ce que ton plaisir jaillisse dans ma bouche, afin de te boire, de garder le goût de ta semence comme un dernier cadeau… Suit un moment de tendresse, blottis l’un contre l’autre, pour laisser monter le désir qui ne sera pas long à renaître. Je te regarde, je me repais de ton image pour ne jamais t’oublier… Trop peu d’heures pour inventer nos derniers souvenirs… Tu embrasses mes seins dont les aréoles dressées ont foncé sous l’effet du plaisir, et ta langue s’attarde sur l’une d’elles, que ...
    ... ta bouche vient saisir et téter langoureusement… Tout un monde de sensations et d’intimité… Je viens enfin sur toi, m’empaler sur ton sexe qui a retrouvé toute sa vigueur. Je te chevauche longtemps, les yeux dans tes yeux, tandis que tes mains m’effleurent, me caressent, font de chaque geste un univers où nous nous rejoignons pour mieux nous retrouver, et que je vois les signes du plaisir se dessiner sur ton visage… L’orgasme nous surprend simultanément et nous transporte par sa violence. Je m’abats sur ton torse pour y poser encore quelques baisers brûlants… Je voudrais conserver à jamais ces instants qui s’enfuient… Un peu plus tard, tu es endormi, je me lève et je m’habille en silence, le corps encore en émoi. Il n’y aura pas d’adieu : quels mots pourraient égaler ces moments partagés ? Je dépose sur ton visage un baiser léger ; mes doigts effleurent une dernière fois ton dos, et je sors en silence, les larmes aux yeux, émue comme au premier jour par ton visage apaisé quand tu dors… À ton réveil, il ne te restera que le souvenir de moi, dont j’espère qu’il va s’attarder longtemps, obstinément… Je t’aime encore… 
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