Le diner d'affaire
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... j’imagine entrouvertes. Voilà de quoi lui fournir les images mentales de sa masturbation du soir. Heureux homme ! Je suis de plus en plus impatience de voir comment la soirée va évoluer, pour l’instant nous continuons au champagne. Pierre n’est peut-être pas le décideur dont j’ai besoin pour mon business, mais il est généreux, sympathique et totalement sous la domination de sa femme. Julie se rapproche de moi, très près, elle s’assoie sur l’accoudoir du fauteuil, instaurant un moment de confidentialité renforcé par la proximité physique. Grace à ce rapprochement, j’ai ses adorables petits seins sous les yeux, dans ton fauteuil, tu me regardes être gêner par cette vision intime imposée, tu me souris avec bienveillance, comme pour me donner un blanc-seing pour l’instant présent et la suite de la soirée. Au regard de la tension sexuelle palpable qui irradie notre groupe, nous savons tous les deux que les choses vont évoluées vers des jeux sexuels que nous assumons par avance dès maintenant. Quoi qu’il se passe, c’est ensemble que nous chavirerons dans la lubricité. Toujours en me regardant, ta main se pose sur les cuisses de Véronique, tu tires en arrière sa jupe à la lisière de son porte-jarretelles pour me dévoiler encore plus ses cuisses et son sexe totalement épilé. Pierre ne dit plus rien, béat, repu et muet, il n’y rien à attendre de ce coté, si ce n’est qu’un léger gonflement dans son pantalon. Julie a tourner la tête suivant mon regard éberlué, elle découvre le con de ...
... Véronique face à elle, je vois sa poitrine qui tressaille, elle interrompt sa phrase, la bouche entrouverte, la langue pointant joliment. Sa stupéfaction me fait reprendre mes esprits, tes yeux toujours fixer aux miens, tu m’incite par le regard à aller de l’avant. Julie se penche vers moi, ce qui me donne l’opportunité d’avancer ma bouche dans l’échancrure béante du chemisier et de poser un baiser sur son sein offert. Elle est pétrifiée par l’audace, j’en profite, tout en te regardant, pour sucer son téton érigé. Nous sommes interrompus par l’arrivée du serveur, chacun reprenant une position plus conforme à la bienséance bourgeoise. La conversation repart sur un sujet banal, comme si cette parenthèse érotique, n’avait pas existé sauf dans notre imagination débridée. Après quelques minutes sans intérêt, la tension s’installe à nouveau. Julie semble de plus en plus troublée, elle s’approche de toi pour te murmurer quelques confidences à l’oreille, en te collant, comme cela semble être son habitude du soir, ses seins sous les yeux. Juste après, elle vient s’asseoir sur mes genoux, dans un échange de regards à trois, tu lui souris et tu me regarde avec amour. Je crois deviner qu’elle t’a demandé la permission de se rapprocher de moi. Je lui soulève le bas de sa robe, elle ne porte pas de bas et ses jambes sont nues, légèrement halées, souvenirs de ses dernières vacances. Elle me laisse poser ma main entre ses cuisses encore un peu trop serrées à mon gout. A cet instant Véronique ...