Vacances de Pâques - Histoires de Sexe

Vacances de Pâques

... deux… Liliane lui prend la main, lui dit de monter derrière, à côté d’elle, regarde Sophie avec ironie et fait un clin d’œil à David. — Tu sais, David, hier, je suis allée chercher le lait, comme chaque soir. Auguste rentrait son troupeau, il m’a dit qu’il m’avait vue, la veille, avec toi. Sophie se retourne, les sourcils froncés : — Ah ! Vous étiez ensemble, sans moi !— Mais oui, Sophie. Auguste a ajouté que si je voulais pas que tout le village le sache, il fallait que je rentre dans son écurie, tout de suite, et que je sois bien gentille avec lui.— Mais il a au moins soixante-dix ans, et il pue autant que son bouc ! intervient Sophie.— Oui, mais qu’est-ce que je pouvais faire d’autre ? Avec son bâton, il a touché ma poitrine en disant : "Fais-moi voir ça, enlève tout !".— Mais quelle horreur !… Tournée vers Liliane, la naïve Sophie réagit quand même, furieuse : — Non, tu te fous de nous. C’est pas vrai. Le lac. Personne sur le parking, personne sur la plage. L’eau doit être froide, mais le soleil est là. Le coin où ils s’installent est discret, à côté de la cabane en planches dans laquelle vivait un ermite, autrefois. — On verra bien si on peut aller dans l’eau, dit Stéphane. On peut toujours se déshabiller. Vous connaissez l’histoire de cet ermite ? Il est mort depuis plus de dix ans. C’était un vrai prêtre, il disait parfois sa messe au village. On a raconté qu’il avait fait des années de prison et qu’il expiait un crime abominable… Stéphane est vite nu. Sa sœur ...

... l’imite en proclamant que ce n’est pas la première fois, et qu’à L’Espiguette, en août, tout le monde est à poil et s’en porte bien. David se déshabille également. Sophie lui lance un regard de détresse, et dit qu’elle restera en sous-vêtements. Elle est très mignonne, avec son slip bleu, orné d’un peu de dentelle, et son petit soutien-gorge assorti. — Tu sais, Sophie, tu es plus bandante comme ça que si tu étais toute nue, lui dit Stéphane, qui commence en effet à bander. David n’est pas en reste. Liliane s’est emparée de sa verge en disant que l’avant-veille, elle était un peu plus grosse mais qu’elle sait ce qu’il faut faire pour qu’elle redevienne majestueuse. Sophie lui lance un regard furibond et se laisse enlacer par Stéphane. Elle ne tarde pas à entrouvrir les lèvres et ne chasse pas les mains qui se glissent sous son slip, une devant, l’autre derrière. Liliane est maintenant à genoux devant David, pour un agréable hommage à Priape. Mais bientôt elle l’entraîne dans la cabane. Stéphane et Sophie les suivent. — On sera mieux à l’abri. David, ta chemise. Il l’étale sur le sol. Liliane s’y couche en soupirant d’aise, les jambes ouvertes. — Viens, David. Tout de suite.— Mais vous m’avez trahie, tous les deux… pleurniche Sophie. Stéphane la reprend dans ses bras, ôte son soutien-gorge sans qu’elle tente de s’y opposer et suce goulûment ses seins, pendant qu’il fait descendre son slip. Fébrile, le Stéphane, sûr de son affaire ! Il est très vite à genoux, lui aussi, ses lèvres ...