1. Après l'orage (1)


    Datte: 27/03/2019, Catégories: Hétéro

    ... et passe le peignoir puis, je m’assois dans un divan large et profond devant une pile de revues de toutes sortes que je feuillette distraitement. Comme je suis nu sous le peignoir, je m’imagine la dame en train de se faire son petit cinéma, comme je me fais le mien. Je l’entends s’affairer dans la salle de bain. Je tombe sur une revue aussi érotique que les estampes, ce qui a le don de m’émoustiller. Je sens ma queue me chatouiller à la vue de toutes ces jolies demoiselles qui montrent sans aucune gêne leurs seins aux pointes bien érigées, leurs chattes grandes ouvertes sur leur entrée d’amour et les bittes prêtes à les pénétrer. Le bruit de l’eau qui coule me distrait soudain. — Tu viens m’aider ? J’ai besoin de tes deux bras pour tendre la corde à sécher. L’eau est chaude, tu peux venir te plonger dans la baignoire. A propos, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Sylvie. Et toi ? Ce n’est pas que je n’en aie pas envie, mais je me trouve bien dans ce divan que j’hésite à me lever. — Tu ne viens pas ? Allons, je t’attends. Je ne bouge pas, plongé dans la lecture des aventures très chaudes des filles en photos. Un friselis de tissu me fait tourner la tête. Elle est devant moi, en chemisette ultra courte et transparente, sous laquelle apparaissent les seins altiers haut placés surmontés de deux pointes comme des petites cerises qui percent le tissu léger. Plus bas, un slip blanc (tiens ! Elle a changé de culotte !) tout aussi fin ne masque rien d’une toison aussi rousse ...
    ... que la chevelure. Elle est belle, très belle et attirante. L’effet est immédiat et ma bitte, déjà bien mise en forme par la lecture, se dresse comme un i, faisant une bosse sous le peignoir. Je suis ébloui, c’est le moins qu’on puisse dire et je reste sans voix. — Eh bien ? Qu’en penses-tu ? Silence de ma part. — Tu es devenu muet ? Ah oui ! Je vois, tu bandes déjà. Est-ce possible que je te fasse cet effet ? J’en suis flattée et ravie. Et tu ne dis rien, tu ne fais rien. D’habitude, on se rue sur moi et on m’arrache presque ma culotte. Toi tu restes sans réagir. — Je récupère après la saucée prise à la sortie du cinéma. — Tu ne viens pas prendre ton bain ? — Non, je me suis lavé dans l’évier ! Je la regarde, et, d’un geste timide, tends la main vers elle. Elle s’approche en souriant tout près et laisse mes doigts s’insinuer sous sa chemisette où ils découvrent le fin tissu du slip déjà humide. La sueur, le bain ou le désir ? Elle ouvre légèrement les jambes, laissant le passage à mes doigts fouineurs et je masse lentement la petite bosse qui gonfle le slip tout à fait trempé. Je sens la fente sous le tissu. — Tu mouilles déjà bien fort. Qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi mouilles-tu comme ça ? — En voilà une question ! J’ai envie, voilà tout. Tu fais tout pour. — Je ne t’ai encore rien fait. — Oh ! Je mouille toute seule quand j’ai envie. Cela a commencé dans la voiture. Je te sentais tout humide de pluie contre ma cuisse et ton odeur me troublait. Je sentais ma culotte ...
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