LE RENOUVEAU Tranches de vie 04
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... encore adolescente, avait bénéficié lors de ses grossesses et surtout avec l’allaitement de nos enfants, de seins à proportion variable. Ses mensurations pouvant passer du 90B au 90D en passant par le 90C. Ses globes étaient très agréables à manipuler dans la paume d’un honnête homme et plus tard, je ne me suis pas gêné de les martyriser… Je l’ai rasée entièrement parfois, ce qui donnait lieu habituellement à des joutes amoureuses, surtout que j'y passais au moins une bonne heure avec des ciseaux et le rasoir à main. Elle tremblait de peur que je la mutile maladroitement. Son jus coulait continuellement lors de cette opération où mes doigts recueillaient même un peu d'urine lorsque je pressais le méat de son urètre. Je l'obligeais souvent, malgré sa honte, à expulser quelques jets que je prenais en bouche et je l'embrassais ensuite à pleine bouche. Lorsque je la pénétrais elle était inondée de sa propre cyprine et lorsque, plus tard, j’ai pu l'enculer, je ne mettais jamais de gras, car son conduit rectal se lubrifie naturellement. Je n'avais jamais connu cela avec une autre partenaire. En tout cas, elle ne proteste jamais contre ces pratiques extrêmes, me demandant parfois de lui faire mal… Après que son sexe soit entièrement rasé, elle laisse pousser quelquefois entièrement les poils de sa foufoune et d'autres fois, surtout lors des périodes où nous nous baignions tous les jours (piscine ou mer), elle se taille le pubis afin que les poils ne dépassent pas des maillots ...
... très mini qu'elle porte. Lorsque nous avons vécu à Madagascar où il fait très chaud, elle ne portait pas souvent de culotte afin d’éviter des mycoses, enfin cela dépendait des circonstances. Après l’épisode de Madagascar, voulant battre sa coulpe, Claire m’avait demandé de la faire souffrir lorsque nous faisions l’amour. Je profitais de sa culpabilité pour nous initier aux pratiques sadomasochisme, sans aucune connaissance sur ce sujet particulier. À cette époque, il n’existait pas de sex-shop ni d’ouvrage sur la question. Je commençais donc avec ce que nous avions sous la main. Les problèmes de bourbouille provoqués par la chaleur humide des moussons nécessitaient que nous utilisions une lotion bien connue : la Friction de Foucaud, un mélange d’alcool, de camphre et de menthol ainsi que d’huiles essentielles de plantes et de citron. Nous en passions quotidiennement sur nos corps en évitant bien entendu les muqueuses. C’est justement dans l’entrejambe de mon épouse que mes doigts enduits de la lotion je la massais jusqu’à atteindre son pubis. Je glissais mes doigts vers sa vulve dont j’entrouvrais les grandes lèvres et je frottais de mes doigts le capuchon de son clitoris que je décalottais. Le liquide agissait d’abord par un froid intense avant que l’effet de l’alcool, du camphre et de la menthe se fasse sentir. Claire se tortillait sur le lit tellement la lotion alcoolisée la brûlait, mais n’écoutant pas ses gémissements, je plongeais mes doigts à l’intérieur de son vagin, ...