1. LE RENOUVEAU Tranches de vie 04


    Datte: 28/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... frottant les parois avec le liquide cuisant, puis j’enfouissais ma verge dans le con bouillant, attisant aussitôt les parois de mon gland par la lotion qui tout en m’embrasant la verge, me faisait bander encore plus et nous entrainait tous les deux dans un coït endiablé. Nous avons recommencé plus tard avec de la pommade Vicks et encore plus tard avec du baume du Tigre rouge. C’était d’une violence inouïe pour nos deux muqueuses. Nous étions déchaînés tellement cela nous brûlais sur le coup, mais quelle jouissance nous en retirions ! Un jour, alors que nous nous disputions gentiment pour une cause farfelue, je menaçai Claire de lui donner une fessée, elle m’a tenu tête et m’a lancé que je n’oserai pas. Sans une ni deux, je l’ai prise à bras le corps en m’asseyant sur une chaise ; puis, ayant relevé sa jupe, je lui ai administré une bonne fessée à main plate sur sa croupe. Elle a gigoté et crié que j’étais un salopard, alors que ses fesses devenaient d’un beau rouge pivoine, surtout que je lui avais retiré sa culotte dès les premiers coups. Au bout d’un quart d’heure, j’ai cessé de la fesser, tout de même un peu fatigué, puis, j’ai caressé les mamelons dodus de ses fesses pour calmer la douleur. Ayant glissé ma main entre ses cuisses, je les trouvai bien humides. Claire, sous mes attouchements ouvrit enfin le compas de son entrecuisse avec de gros soupirs. Je glissai mes doigts dans la crème onctueuse qui tapissait son vagin, prouvant sans aucun doute qu’elle avait pris du ...
    ... plaisir à se faire fesser. Naturellement la séance se termina par une baise impétueuse, où Claire se donna furieusement à moi. La fessée fit partie dès ce jour d’une pratique quasi hebdomadaire, mais nous sommes passés à des choses plus sérieuses lorsque mon épouse m’a apporté un jour une badine souple, qu’elle avait coupée encore verte sur la branche d’un laurier rose du jardin. Elle m’a demandé d’attacher ses poignets à la branche basse d’un acacia et de la flageller avec la badine - pas trop fort – m’avait-elle dit. Nous sommes convenus de lui donner 10 coups pas trop fort, puis après un temps, 10 coups plus appuyés et enfin, lorsqu’elle me dirait « vas-y » : 10 coups assez forts. Elle avait tricoté des jambes et essayé d’éviter les coups dès les premières frappes. Je m’étais pris au jeu et dès la seconde volée de 10 coups, j’ai zébré ses fesses, lui laissant des marques bien rouges. Elle laissa des larmes couler sur ses joues, mais n’attendit pas très longtemps avant de me dire : vas y. Là, j’y suis allé de bon cœur et malgré ses vociférations, je cinglai son cul à coups redoublés, laissant même quelques traces rougeâtres sur ses fesses charnues. Je la détachai aussitôt et la soutins pour l’amener dans la chambre où je l’allongeai sur le ventre de notre lit conjugal. J’avais préparé à l’avance des linges et de la pommade calmante que j’étalai doucement sur ses fesses endolories. Elle écarta d’elle-même ses cuisses pour me permettre de continuer mon doux massage. Mes mains ...