L'épouse, l'amant, l'époux ! 9
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Un week-end des conjoints allèrent en discothèque. Après une première mi-temps de danse et d’alcoolisation ils sortirent de la boite pour prendre l’air. Les phares des voitures qui roulaient sur le boulevard éclairaient de l’un à l’autre les piétons qui passaient devant l’établissement festif avant de disparaitre vers des directions nocturnes et personnelles. L’époux tira sur sa cigarette. La lueur incandescente s’intensifia. Près de lui l’épouse causait avec l’un des videurs. Il les entendait rire. À la cérébrale image du corps vigoureux de cet inconnu faisant la cour aux orifices humides de son épouse en sa présence, l’organe reproducteur de l’époux s’affola. S’ajoutèrent d’autres week-ends durant lesquels les conjoints et le physionomiste firent plus amplement connaissance. Au bout du compte le couple dévoila ses fantasmes candaulistes au videur. Ils prirent rendez-vous pour conclure tous les trois des choses scabreuses. Les jours précédents le rendez-vous la libido du duo augmenta. Pendant qu’ils consommaient l’amour chacun des partenaires gardaient mentalement l’image du costaud videur couchant avec l’épouse, lors de leurs ébats sexuels les époux se parlaient, s’entreracontaient comment elle jouirait sous les coups de reins du physionomiste, comment l’époux banderait de la voir prise devant lui par un homme noir viril. Tout cela constituaient pour eux une source intarissable de plaisir, de désir, de jouissance, source dans laquelle ils nageraient le soir du ...
... rendez-vous. La quarantaine, grand de taille, tout en muscles, chauve, D se trouvait assis sur le grand fauteuil du salon. Sa carrure lui donnait cet air austère qui habite les grands noirs debout devant des portes. Il s’était habillé comme au travail, faut dire que c’était aussi un travail de satisfaire les femmes insatisfaites devant leurs époux, un travail que l’on payait en nature ! Seul le sourire qu’il arborait sur sa mâchoire carrée dénotait de son emploi journalier où il fallait absolument paraitre rustre. La main féminine qui caressait la devanture de son jean au niveau de son pénis gonflant à vu d’œil comptait pour beaucoup dans son sourire. À côté de D, quasi collée à lui, assise, se trouvait M, la quarantaine, chevelure blonde, poitrine ronde sous un débardeur noir, mini jupe en jean rouge, manucure rouge, peau blanche, carrément rose, du type qui rougie facilement. Elle tenait dans l’une de ses mains un verre d’alcool et dans l’autre la verge de D qu’elle caressait, à travers le tissu rigide, qu’elle massait, de manière insolente, jusqu’aux testicules. En face de D, de l’autre bout de la table basse, N, la trentaine, un peu gros, corps en polo noir et pantalon kaki. Comme l’amant et l’épouse il s’abreuvait d’alcool tout en observant les préliminaires du couple adultérin. N avait initié M aux plaisirs candaulistes. Si au départ elle s’était montrée réticence à l’idée de coucher avec un autre homme devant lui l’idée avait poursuivi son chemin au bout des dissertations elle ...