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L'épouse, l'amant, l'époux ! 9
Datte: 28/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... avait fini par partager son fantasme. Cela faisait environ quatre ans qu’ils vivaient en candaulistes, plus le temps passait plus le désir d’N de se faire humilier et prendre par sa femme augmentait insidieusement au fond de lui. Elle ne l’avait pour l’instant pas astreint au port d’une cage de chasteté même si elle savait que c’était son profond désir. Les deux amants s’agenouillent sur le matelas face à face. N aux cheveux blonds resplendissants, au débardeur noir, à la jupe en jean rouge, caresse le torse de D d’une main tendre sur laquelle s’étalent des ongles neufs à la manucure rouge vive. La main claire de l’épouse glisse sur le boxer de l’amant au niveau du pénis. Par le tissu du sous-vêtement noir elle caresse les fesses rudes pendant qu’il embrasse son cou tendre puis son épaule douce. Leurs bouches se malaxent. Les seins de l’épouse compressés dans le débardeur noir s’écrasent sur les pectoraux nus de l’amant. Les lèvres charnues de l’amant parcourent le cou de l’épouse puis la bouche gobe le sein à travers le débardeur. -Tu veux me baiser ? -Oui! L’épouse se débarrasse de son débardeur et se retrouve torse nu comme l’amant. Ses seins refaits défient autant l’apesanteur que le temps. Les deux amants mélangent de nouveau leurs lèvres et leurs langues. Lorsque la bouche tiède de l’amant tétine l’un des seins nus de l’épouse elle ne peut retenir un hum plaisant. Cette bouche gourmande tette gloutonnement l’un après l’autre chacune des mamelles de la femelle autrui. ...
... Elle ôte sa jupe. Elle se retrouve en string rouge. La mince ficelle rouge de son string contraste érotiquement avec les talons aiguilles noirs la chaussant. L’attrait érotique de cet assortiment émoustille irrésistiblement les deux hommes. -Elles sont jolies tes chaussures ! -Merci ! Mon cocu les achète pour moi et mes amants. Après avoir tenu un instant l’escarpin noir par l’aiguillon la bouche de l’amant de manière fétichiste suce les orteils rouges de l’épouse offerts aux caresses par la devanture ouverte de la chaussure pour dames, la bouche remonte sur le ventre du pied, la bouche grimpe sur la cheville lisse, la bouche atteint le genou osseux, elle glisse le long de la cuisse dense, elle se perd vers l’entrecuisse, elle se pose sur la devanture du string rouge dans lequel s’impatiente un vagin qui bout. Mue par l’excitation la femelle dépose les deux mains sur la tête du mâle puis libère un soupir d’aise alors qu’au travers du fragile tissu intime les lèvres de l’homme masturbe son vagin. D’un geste vif la main de l’épouse tire le sous-vêtement rouge sur le rebord découvrant ainsi la vulve rose aux lèvres charnues de l’amant. La bouche lourde atterrit au milieu du vagin ouvert. L’épouse relève les jambes puis ouvre bien les cuisses pour mieux offrir à la bouche gourmande ses cavités trop intimes. « Enfonce moi ta langue ! » À cet injonction presque plaintive l’amant introduit la langue dans son vagin qu’il cunite comme un pénis baisant un vagin. Ses ongles rouges serrent ...