1. Un service


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... regard. Mon bras se tend. Il me suffit de dire non, de lâcher sa main ou de faire un signe de la tête. Mais je ne le fais pas. Elle paraît si douce. Un pas en entraîne un autre. Je suis à quelques mètres et je constate que Sam n’a pas bougé. Il est tout à son spectacle. — Sam ! Il tourne la tête. Il voit que je suis déjà éloignée. Il me rattrape et constate que je suis entraînée par la femme. — Véronique ? Qu’est-ce que vous faites ?— Elle vient avec moi. N’est-ce pas… Véronique ? répond ma kidnappeuse. La façon dont elle prononce mon prénom est comme du miel. Mais tout de même je dois réagir. — Oui… Mais venez, Sam. Au moins en demandant à Sam de nous suivre, je n’ai pas totalement perdu la tête. Le mari de la femme marche devant. Il est pas mal fait. De belles fesses, de larges épaules. C’est un beau couple. Ils n’ont certainement pas de difficultés pour se trouver des partenaires. D’une certaine façon, je devrais être fière. Une chambre est libre. Nous entrons. La femme s’arrête. Sa main se fait plus ferme. Elle me fait face et elle s’avance tout contre moi. Son visage est prêt du mien. — Je m’appelle Vénus et mon mari, Hugo. Le temps de digérer l’information que ses lèvres frôlent les miennes. Elles sont humides. La pression est plus forte. Bientôt, je sens des bras m’enlacer. Son corps épouse le mien. Nous sommes de la même taille et je ne peux m’empêcher d’apprécier le doux contact de sa poitrine sur la mienne, de son ventre contre le mien. Une langue viole le secret ...
    ... de ma bouche. La mienne défend son territoire et notre baiser devient profond, sensuel. — Hugo va venir nous rejoindre, dit la bouche qui vient de m’embrasser. Je ne le vois pas. Je remarque juste que Sam est allé s’asseoir et que la porte de la chambre n’est pas fermée. Qui l’a laissée ainsi ? Sam m’a expliqué que de laisser la porte ouverte donne l’autorisation aux autres de venir voir. Mais j’oublie ce détail lorsque je sens Hugo venir se lover contre moi. Me voici entre mari et femme. Maintenant ce sont deux bouches qui m’embrassent, me caressent le visage, me soupirent dans le cou ou juste sous mon oreille. — Il va m’aider à enlever votre lingerie. J’apprécie cette délicatesse. Cette façon de me prévenir de ce qui va arriver, me donnant l’illusion que je peux encore tout arrêter. Des mains détachent l’agrafe de mon soutien-gorge. Un instant Venus se sépare de moi pour laisser la dentelle passer mes épaules et tomber au sol. Je ne le vois pas, mais j’imagine qu’Hugo est maintenant accroupi, car ma culotte semble peser bien lourd maintenant. Elle aussi me quitte. Je crois que je me souviendrai longtemps de ce baiser que des lèvres d’homme déposent sur mes fesses. Il y a bien longtemps que Charles ne le fait plus. Me voici de nouveau entre eux deux. Maintenant nous sommes peau contre peau. Et ce que je sens contre mes fesses est autrement plus dur que ce qui vient de m’embrasser. Hugo bande. Son bâton est dressé et trouve le sillon de mes fesses. La suite est comme dans un ...
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