Un service
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... sollicite souvent. On retrouve nos découvertes du début de notre mariage. Faire l’amour partout dans l’appartement, en voiture, en forêt allant même à nous mettre en péril d’être surpris. J’obéis, bien sûr, et me voici juste habillée d’un tablier assez court, style soubrette. Lui aussi se met nu. Il bande déjà. Je fais ce qu’une soubrette doit faire. Je m’agenouille devant mon patron et m’occupe de sa verge. Celle de Charles n’est pas très grosse. J’ai oublié celles de mes aventures avant mariage, mais les mecs dans les vidéos que j’ai vues sur les sites sont tous bien plus gros. Mais la queue de mon mari me suffit. Mieux, comme elle n’est pas trop longue, j’arrive à presque lui gober entièrement et ça, je n’ai pas oublié combien les hommes aiment voir leur bite disparaître dans la gorge d’une femme. Je le suce. Je le pompe. Je le lèche. Ses bourses roulent sous ma main. Et puis il me fait lever, me tourne, me pousse pour que je m’appuie sur l’évier, face à la fenêtre. — Charles, la lumière. On pourrait nous voir. La nuit commence à tomber et notre cuisine donne sur la cour intérieure comme beaucoup de notre immeuble. — Il n’y a personne. Regarde, c’est éteint. Je n’ai pas le temps de protester que de l’autre côté ils ont encore un peu de jour et qu’ils allument plus tard, que sa queue déjà m’envahit. Déjà son ventre est contre mes fesses. Mes seins lourds qui pendent découvrent le froid de la céramique alors qu’il me fait pencher un peu plus. C’est bon. J’aime les ...
... préliminaires, mais quelquefois c’est délicieux de se faire prendre « à la brutale ». Charles se baise sa soubrette. J’imagine que ce scénario, dont il ne m’a jamais parlé, mais que le choix de ce tablier peu pratique qu’il m’a offert récemment, participe à son fantasme. Et ce n’est pas désagréable de se faire culbuter ainsi. D’une certaine façon cela me ramène sur terre après des heures et des heures de DRH qui se doit d’être toujours parfaite et imperturbable. Il me bourre. Mon corps épouse le meuble. Je sens les poignées des portes me marquer les cuisses. Cette petite douleur participe à mon plaisir. Chaque avancée est d’une profondeur parfaite. Chaque clapotis de ma mouille doit l’exciter comme elle me trouble. Et puis il se retire et déjà son gland frappe à mon petit trou. Ce soir, manifestement, il veut se finir dans mon cul. Parfois c’est entre mes lèvres et je déguste sa semence jusqu’à la boire avec toute la perversité dont je suis capable. Oh, pardon, dont une soubrette est capable. Mon cul est à mon mari depuis longtemps. S’il ne m’a pas déflorée, déjà beaucoup de mecs m’avaient baisée, par contre il a été le premier à me sodomiser. Maintenant, je lui suis bien ouverte. Sa queue graissée de ma mouille ne fait qu’une bouchée de mon anus. Le gland entraîne le reste. Le serpent avance, tel le serpent que Moise à transformé en bâton devant le pharaon. C’est bien plus étroit. Sa bite est serrée de toute part et bien vite, il éjacule pour m’inonder les entrailles. C’est fou comme ...