1. Un service


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... coins câlins, je l’ai entraînée. J’ai oublié de lui dire – oh le méchant garçon ! – que pour aller plus loin, il est fortement recommandé de s’alléger un peu. Les dessins sont explicites. Elle a à peine hésité. Je ne sais pas si elle avait envisagé ce moment, mais sa lingerie est plus que sympathique et élégante. Certaines portent des dessous fortement échancrés, avec des ouvertures suggestives, d’autres se mettent tout de suite à poil, mais elle, c’est une élégance raffinée de dentelle et de couleur. D’une certaine façon, je suis fier de l’accompagner et certains regards sont plus qu’admiratifs. Véronique m’a pris la main pour bien marquer notre lien et certainement pour se rassurer. On visite. Je commente lorsqu’il le faut. Mais la plupart du temps, il suffit de regarder. Il est rare que les gens ferment les portes des chambres. Partout maintenant on croise des couples nus, on voit des couples mixtes, ou pas, en action. Autour du jacuzzi au moins dix personnes baisent. Je sens Véronique troublée par ce que nous découvrons. Sa main se fait moite et lorsque je la regarde subrepticement, son visage et son corps sont en sueur. Je l’entraîne vers la salle du donjon. Là-bas elle va en avoir pour son argent. On passe devant une des pièces ou presque tous les murs sont couverts de miroirs. Miroirs au plafond et au sol, mais aussi miroirs sans tain qui permettent à des spectateurs de regarder ce qui se passe sans être dans la pièce et déranger les protagonistes. Une femme et trois ...
    ... hommes. J’arrête un instant pensant montrer ce qu’un quatuor peut faire et… Reprise du récit de Véronique. J’angoissais bien sûr, d’aller dans ce club, mais tout se passe bien. Sam est parfait dans son rôle. Il n’en fait pas trop. Je craignais qu’il en profite pour abuser de la situation particulière, mais non. Il est trop mignon lorsqu’il me voit me déshabiller. Bien sûr, je savais. Le site du club est très bien fait. Je connais les règles et je l’ai même visité virtuellement. Mais la visite virtuelle est une chose, le voir avec des clients change beaucoup. Déjà dans la partie piste de danse, certaines tenues de femme sont de vrais pousse-au-crime. Je ne parle pas des caresses appuyées. Mais dans la partie privée, tout le monde est à poil ou presque et la plupart baisent. Mais ce qui frappe aussi c’est la légèreté, la désinvolture, la liberté, comme si c’était naturel de changer de partenaire, de se montrer et d’afficher son plaisir. Je regarde discrètement Sam. Il n’est pas indifférent à ce qu’il voit. Son slip montre une grosseur qui n’était pas là au début de notre visite. Mais moi aussi, je suis troublée. Bien plus que je ne croyais. Voir sur un écran une vidéo est une pâle reproduction de la réalité. Il doit faire chaud, car je transpire malgré ma quasi-nudité. On vient de s’arrêter devant une cloison. Ce sont des vitres sans teint et on peut voir de l’autre côté. Sam regarde. Moi aussi. À l’intérieur deux hommes sont assis sur un lit et à leurs pieds une femme, mais un ...
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