1. Traversée de la France en voiture


    Datte: 30/03/2019, Catégories: copains, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral jeu,

    ... tentes canadiennes : — Ah oui, effectivement ! sont ses premières paroles, avec dans les yeux une malice qui me rend encore plus dingue. Elle savait parfaitement l’effet que ça me ferait et elle s’amuse de me voir souffrir comme ça. Je la retrouve comme au bon vieux temps ! Sans s’attarder plus que ça sur mon état, elle me dit d’une voix toute guillerette : — À toi maintenant ! Le problème, c’est que je n’ai pas du tout envie de raconter un fantasme, là. J’ai envie de concret ! J’ai envie de libérer ma bite tendue comme c’est pas permis. J’ai envie de la soulager de l’excitation qui la gorge depuis dix minutes ! C’est ce que je décide de lui « raconter : — Eh bien moi, mon fantasme, c’est qu’une de mes ex avec laquelle je suis en voiture me raconte une histoire où elle fait sa grosse coquine rien que pour m’exciter et qu’après elle me soulage de ce qu’elle a provoqué pendant que je conduis ! Elle pousse à nouveau un petit rire plein de fraîcheur, puis la fameuse moue se redessine sur son visage pendant qu’elle pose doucement sa main sur le haut de ma cuisse : — Je comprends tu sais, mais par rapport à ce que j’ai dit tout à l’heure… J’ai du mal à me concentrer sur ses paroles, car sa main à quelques centimètres de ma bite ne fait qu’accroître mon excitation et je suis à deux doigts d’éjaculer rien qu’avec ce geste qu’elle semble faire en toute simplicité. « Tu comprends ? » me demande-t-elle en exerçant une petite pression qu’elle veut amicale sur ma cuisse. Et ses doigts ...
    ... frôlent ma bite tendue. Soit c’est la plus naïve des filles que je connaisse, soit c’est la pire des garces ! Et à la connaître un peu, elle est tout sauf naïve la petite. Ce qui ne l’empêche pas de retirer sa main doucement et d’afficher un petit sourire ingénu. Tout en continuant à me regarder avec cet air angélique digne du pire démon, elle me dit : — Tu sais tout à l’heure, quand je me suis changée, je t’ai dit que j’ai réfléchi. J’en suis arrivée à la conclusion que j’ai partagée avec toi. Mais quand j’ai pris les affaires pour me changer, j’avais une autre idée en tête. Du coup, en fait, je n’ai pas remis ma culotte. À cette déclaration, un nouveau court-circuit crame les derniers neurones encore actifs de mon cerveau et je tourne violemment la tête vers elle, avec cette fois-ci, dans le regard, une certaine animosité destinée à lui faire comprendre que son petit jeu ne m’amuse plus vraiment. En revanche, à voir dans ses yeux l’étincelle mutine qui les anime, ça a vraiment l’air de l’amuser, elle. Ce regard que je veux menaçant la fait glousser. Et ça, ça me fait craquer : j’ai vraiment du mal à lui en vouloir. Mais j’ai vraiment la bite trop tendue aussi. Elle reprend avec la même énergie et la même fausse candeur : — Tu sais, à raconter ça, et à te voir dans cet état, je dois t’avouer que, même si ça se voit moins que toi, mais suis un peu dans le même état. Mon sexe gagne encore en vigueur, ce que je croyais impossible jusqu’à maintenant. Mais je ne dis rien, j’accuse ...
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