Traversée de la France en voiture
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
copains,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
jeu,
... ses mains sur mon ventre, et remonte doucement pour prendre mes seins dans ses mains. En faisant ça, il plaque son bassin contre mes fesses et je sens qu’il a une belle érection. Il continue à me caresser doucement les seins en imprimant à ses hanches un petit mouvement, et je sens sa bite qui se frotte sur mes fesses. Il ne dit toujours rien. Et moi je ne peux m’empêcher de respirer bien plus fort qu’à l’accoutumée. Ses mains quittent mes seins et glissent doucement sur ma jupe, descendent encore, passent en dessous du tissu et l’une d’elle vient s’amuser avec mes lèvres à travers ma culotte. J’ai un mouvement de bassin et je pousse un soupir qui ne laisse aucune équivoque possible sur ma disposition du moment. De toute façon, vu l’humidité ambiante, je pense qu’il a parfaitement compris l’effet qu’il me fait. Toujours sans rien dire, ses mains passent sous l’élastique de ma culotte et la font glisser jusque mes chevilles. Il remonte ses mains jusqu’à mon bassin et imprime un mouvement tout en douceur qui me fait me pencher vers l’avant, prenant appui sur le photocopieur qui continue à débiter ses A4 noircis par des tableaux de chiffres. Ses mains quittent quelques instants mes hanches et j’entends le bruit d’un ceinturon qui teinte. Ses mains reviennent à moi, je comprends qu’il soulève ma jupe et je sens mes fesses à l’air. Alors, doucement, je sens sa bite contre mes fesses puis contre mes lèvres, puis en moi : il m’a pénétrée. Il commence des va-et-vient d’abord lents ...
... puis plus vigoureux, ses mains maintenant fermement mes hanches. Je ne peux m’empêcher d’ahaner et j’entends aussi ses soupirs rauques. Je sens le désir monter et je suis prête à jouir quand ses cris rauques se font plus distincts je le sens en moi qui jouit. Je l’accompagne et j’ai un orgasme de folie. Il ralentit progressivement ses mouvements, reste quelques secondes en moi sans bouger, puis se retire. J’entends qu’il se rhabille. Et il quitte la pièce. Sans dire un mot, et sans que nos regards ne se soient croisés. Je reviens à la réalité, la photocopieuse a terminé. Je me penche et remonte doucement ma culotte avec cette sensation de son sperme déjà un peu froid qui s’écoule un peu. Je rajuste ma tenue, range les copies dans la pochette et sors du local. Je repasse derrière mon bureau et lui tends la chemise : Il ouvre la porte et sort de l’agence. Je m’assois dans mon fauteuil. Un silence s’installe dans l’habitacle. Je maintiens le volant plus fermement que tout à l’heure. Beaucoup plus fermement. J’hallucine de ce récit. Bref, direct, précis. Je suis ailleurs, très clairement. C’est elle qui à nouveau rompt le silence avec un « alors ? » plein d’énergie, de joie et de candeur non feinte. Je réponds sans réfléchir une seconde, faisant part de mon état présent : — Ça va pas de raconter des trucs pareils, je bande comme un ouf ! Poussant un petit rire amusé, ses yeux se posent sur mon entrejambe où, clairement, le tissu de mon pantalon en toile rappelle les bonnes vieilles ...