Première sortie - Histoires de Sexe

Première sortie

... fait avec un homme !»— «O.K.. Je ne te ferai rien, je veux juste me branler contre ta chatte.» Alors, elle se rallonge et se détend, ouvrant grand les cuisses. Je me masturbe ; mes couilles se balancent lourdement. J’appuie mon gland contre sa fente gluante, écartant les nymphes. Je me frotte le long de sa moule, écrasant mon nœud sur son clitoris, faisant coulisser ma tige entre ses lèvres vaginales. Appuyée sur ses coudes, Claire se relève et me regarde faire, fixant le trou béant au bout de mon gland. Je sens la chaleur de sa fente baveuse contre ma bite qui se couvre de mouille. Je lui relève les jambes, posant ses mollets sur mes épaules ; de loin, on peut sûrement croire que je la baise vraiment. Mon sexe glisse le long de sa chatte, coincée entre ses cuisses à la verticale. Je décharge comme çà, lui envoyant mon sperme jusque sur le nombril, souillant ses quelques poils pubiens. Alors que Claire se nettoie, Vanessa et Lise qui ont joui quelques minutes avant sont liées par une pelle royale. Enfin ayant tous les quatre pris notre pied, nous quittons le sauna pour rejoindre le bar de la piscine, où nous nous vautrons dans un jacuzzi, Vanessa entre mes cuisses. Nous sirotons un verre en face d’un couple, visiblement occupé sous la surface de l’eau. Après un passage rapide dans les douches et les vestiaires, nous nous retrouvons ensemble prêts à sortir, lorsque je suggère de leur laisser nos coordonnées. Vanessa s’empresse de les noter sur une ...

... carte du club et de la tendre à Lise en l’embrassant langoureusement. Pendant ce temps, je me colle contre Claire afin de l’embrasser. Elle ne me repousse pas quand je passe ma main sous sa jupe. Je la touche entre les jambes, l’empiècement de son slip est trempé. J’enfonce mes doigts dans sa fente, entraînant le tissu. Elle devient toute molle contre moi. Elle tourne la tête pour que je prenne ses lèvres. Je mets ma langue dans sa bouche. Je la tripote un court instant tout comme nos deux amies, puis nous nous séparons en se promettant de se revoir bientôt. Le regard de Claire brille alors d’un éclat trouble. — «Alors comme çà, tu n’as pas pu la sauter parce qu’elle est lesbienne ! Tu n’as pas de chance ! Lise, elle, est totalement bisexuelle, comme moi.» me lance Vanessa une fois dans la voiture. C’est vrai que je regrette un peu et que je l’envie à la fois car même si la moule de Claire est de toute splendeur, une branlette n’a jamais valu une bonne pipe ou une relation. Il est maintenant 22 h 30, et alors que nous voulions trouver quelqu’un de complice pour ce soir, nous n’avons personne. Je propose à Vanessa d’aller grignoter un morceau à Saint-Germain des Prés et de nous rendre ensuite rue de Rennes, au Thymies, une boîte assez sexe, même si ce n’est pas pour cela que l’on vient, au moins on peut y draguer facilement. À l’angle des rues Furstemberg et Jacob, nous nous installons en terrasse d’un petit restaurant, à la lueur d’une lampe à pétrole.