Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (1/2)
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
J’étais dans le TGV en route vers Paris. Assise sur la cuvette des WC, je relisais, après m’être changée, l’invitation reçue quelques jours plus tôt alors que mon homme était en déplacement sur la capitale. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- INVITATION AUX PLAISIRS Thème : De l’art oui mais au pluriel ! Lieu : Paris 16ième Consignes : Billets SNCF à consulter et s’organiser en conséquence – Durant le voyage suivre les consignes via sms A l’arrivée en gare suivre le panonceau « Mme Breizfrissons » et son porteur. Dress-code : Bas couture « Cervin bleu-melon », porte-jarretelles, manucure assortie et escarpins de velours bleus. Robe habillée mais au dessus du genou – Le tout est à prendre dans un sac de voyage, petits bijoux de fantaisie. Rosebud turquoise à mettre dans la vanity. Date et heure : voir billet SNCF – Prévoir nuitée et journée du lendemain en dispo. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je rangeais mes affaires échangées dans le sac de voyage, relue le texto et inséra comme demandé le rosebud dans l’orifice dédié. Nous étions à 15 minutes de l’arrivée à Montparnasse et je devais, suivant les consignes, regagner ma place une fois changée. J’ouvris la porte des WC et croisais le regard surpris de mon voisin d’en face du carré, qui attendait la libération des sanitaires. Oui effectivement le ...
... changement était grand dans ma tenue, c’est le moins que l’on puisse dire ! Le rouge aux joues je regagnais le carré, sous le regard soudain plus attentif des hommes et jalousant des femmes du wagon. Je fis mine de rien, replaçais mon sac au dessus de moi, dévoilant ainsi, bien malgré moi, la jarretière bleue de mes bas Cervin – Mince, la couleur n’était pas discrète et quelques sourires amusés apparurent sur le visage des hommes du carré. Car oui, hélas j’étais la seule femme du carré. Là je virais au cramoisi et maudissais mon homme intérieurement. Et comble, le troisième homme attendait derrière moi que je me rassoie correctement pour s’installer. J’envoie mon rapport à mon bourreau « tout est OK comme prévu mais il y a du public ! ». Nouveau sms en provenance de mon homme. « tes voisins ou voisines doivent être heureux(ses) de profiter de jolies courbes bien mises en valeur. N’hésites pas à ne pas croiser et décroiser les jambes pour montrer que tu ne portes … rien ! ». Oup’s … oui çà aussi je ne l’ai pas anticipé et j’espère que seule la lisière de mes bas a été entrevue, ce qui serait moins pire que ce que j’imaginais en l’instant. Je devins « transparente » jusqu’à la fin du voyage et l’un de mes voisins m’épargna (au grand regret des autres sans doutes) de me mettre dans une nouvelle difficulté d’exhibition involontaire, en me descendant mon sac de voyage. Alors que je le remerciais, il me dit « c’est toujours un plaisir d’être utile à une jolie femme … si vous avez ...