1. Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (1/2)


    Datte: 31/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... encore besoin, n’hésitez pas ! ». Je lui délivrais un sourire, dont seules les femmes ont le secret, pour appuyer son compliment. Descendue sur le quai, je scrutais la foule pour y chercher mon homme et son panneau « Mme BREIZFRISSONS » lorsqu’en bout de quai mes yeux sont attirés par ce dernier nom. Sauf que le porteur de celui-ci m’est totalement inconnu. Mon cœur s’emballe, nous n’avions jamais joué l’un sans l’autre et ce n’était pas dans le contrat ! L’homme quinquagénaire, séduisant au demeurant, s’approchait de moi en me saluant. Il me tendit une enveloppe présentant l’écriture de mon mari et adressée à mon attention. « Surprise ! Voici ton chauffeur. Il va te conduire à son taxi, te bander les yeux avant de t’assoir à l’arrière du véhicule. Tu devras répondre à toutes ses questions et obéiras aveuglément à toutes ses requêtes. Il prendra également au passage un escort-boy avant de te conduire au lieu de rendez-vous où nous nous retrouverons – Dont’ panique, tout est sous contrôle sauf peut-être toi ». Oui, effectivement, c’est un peu la panique au fond de moi-même mais le sourire de mon charmant quinquagénaire fini de me rassurer. Avec galanterie, il pris en charge mon sac de voyage et me guida dans les dédales de la gare Montparnasse. C’est ainsi que je me retrouvais assise, sur le siège de cuir d’une très belle berline allemande, à l’arrière, les yeux bandés à converser avec un chauffeur enjoué et très courtois. Comme convenu, à quelques centaines de mètres de là, ...
    ... le véhicule s’arrêta et une personne monta à l’avant sans prononcer le moindre mot. Les quelques échanges de banalité sur mon voyage effectués, mon chauffeur passa rapidement au registre des compliments érotiques. J’ai rapidement supposé que le rétroviseur avait une autre utilité que le code de la route car rapidement ses propos m’informèrent qu’il avait noté le coté fraichement préparé de mon entre-jambes et que le bleu m’allait bien au teins. Je décidais de jouer le jeu intégralement, imaginant que l’excitation provoquée par celui-ci me serait profitable : elle diminuerait ainsi le stress de l’absence de mon homme. Je répondais donc, du tac au tac, aux allusions avec un ton un brin aguicheur. Ce qui ne déplut pas à mon chauffeur qui s’enhardit en me demandant de quitter ma robe et m’asseoir en simple lingerie à l’arrière. Devant mon hésitation, il me précisa que ses vitres arrières étaient fumées et qu’il n’y avait aucune raison de le priver d’une vue …assurément splendide d’après ses propres aveux. Hélas je découvrirais, à la fin de ma rencontre, qu’il n’en était rien et que le parcours parisien, depuis la gare, avait du susciter bien des émois ou courroux des voyeurs et voyeuses improvisés. J’essayais de rentrer en contact avec le passager avant mais je n’obtins pas de réponse. Le chauffeur me précisa que celui-ci avait reçu comme consigne d el a part de mon mari de rester silencieux. Je soupçonnais mon taxi de prendre son temps car le trajet était fait d’un accordéon de ...