1. Mon sosie : Lila Chatte, Star du X (2)


    Datte: 02/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Chatte... il fallait faire cesser cette comédie. « Sortez de ma maison ! » Ce fut tout ce que je trouvais à dire, il devait penser que je jouais mon rôle de raciste. Il se dirigea vers moi d’un pas sûr et rapide, la bite en l’air, comme une lance prête à m’embrocher. J’avais la trouille, je reculais par réflexe et me pris les pieds dans le tapis et tombais sur les fesses. Il n’en fallut pas plus, il était sur moi, agrippa mes cheveux et colla ma bouche contre sa bite. J’ouvrais la bouche pour protester, mais avant de prononcer un son, il y engouffra sa bite. Il ne me restait plus qu’à tenter d’avaler tout le morceau. Pour un acteur porno, ce devait sembler l’enfance de l’art, mais avaler une bite de la taille XXL n’avait rien d’un jeu d’enfant. J’avais sa queue jusque dans la gorge, et me sentais prise de l’envie de vomir. Pourtant il ne me laissait pas le choix, forçant ma tête contre son entrejambe, mes yeux se mirent à pleurer, il n’y faisait même pas attention. D’une main puissante, il maintenait ma tête pour que sa bite soit profondément enfouie dans ma gorge et de l’autre il sortit un téléphone : « Et les frères, je suis chez une salope blanche qui a besoin d’un dressage. Un traitement de la "Black Justice".» Immédiatement après, les quatre autres noirs entrèrent dans le studio. Chacun fit un « check » avec le poing de celui qui avait sa bite dans ma gorge. Une fois les salutations faites, il finit par relâcher la pression. Je m’écartais immédiatement du chibre pour ...
    ... reprendre mon souffle. J’avais la gorge en feu. Le noir #2 dit : « Alors salope, t’aimes pas les négros ? — Je vous chie dessus. » Et après avoir failli périr à moitié étouffée, je ne savais pas si je jouais un rôle ou si j’exprimais mes sentiments profonds. « Tu vas avoir besoin d’un bon dressage. » Il me souleva du sol en me prenant sous les bras, pendant qu’un autre me retirait ma jupette et ma culotte. Juste après je me sentis atterrir sur sa bite. Le choc fut violent, jamais on ne m’avait éclaté la chatte comme ça, de façon aussi brutale et dominatrice. Il commença à me faire tressauter le long de sa queue et à la façon dont j’étais empalée sur son braquemart à chaque sursaut je sentais tout mon con vibrer, je gardais la bouche ouverte ne pouvant m’empêcher de pousser de petites exclamations à chaque choc, je sentais ma fente se mettre à mouiller. Un autre noir agrippa mes cheveux, et je me retrouvais à la perpendiculaire en l’air, une bite dans la chatte, une autre dans la bouche. J’étais fourrée, complètement embrochée. Je suçais une queue, sentant un autre chibre continuer à plonger dans ma chatte à un rythme effréné. Jamais je ne m’étais fait remplir comme ça, c’était une sensation violente, puissante et diaboliquement jouissive. Je n’en profitais pas bien longtemps, je fus jetée sur le canapé. Aussitôt ma tête fut reprise en main, fourrée sur un dard gonflé. Je suçais le gland, deux autres bites attendaient mes services, j’alternais. Si je ralentissais, je recevais des ...
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