1. Mon sosie : Lila Chatte, Star du X (2)


    Datte: 02/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... coups de queue sur le visage... C’était si sale ! Si pervers ! Je me prenais au jeu d’être une actrice « porno » de sucer comme si j’étais affamée de ces bites énormes, c’était drôle. Je les entendais me traiter de salope, de sac-à-foutre. C’était vrai, pour eux... Je ne pense pas qu’à ce moment ils me considéraient encore comme une actrice, ou même comme une femme. J’étais juste un trou. Un objet qu’ils utilisaient pour prouver leur puissance sexuelle, ou leur talent d’acteur ; ce qui revenait au même. Pire qu’un objet, car ils cherchaient à me faire souffrir, montrer comme j’étais dévastée par l’entrée de leur queue dans mes orifices juteux. En parlant d’orifice, un dernier bastion allait céder, je sentis un doigt humide entrer dans mon cul. J’étais au comble de l’excitation, tous ces membres virils autour de moi… Quand la bite me dépucela le trou du cul, je laissais échapper un cri retentissant. Ç’aurait pu être douloureux, mais j’étais tellement en osmose avec la dépravation autour de moi que je m’en réjouissais, explorais ce nouveau plaisir anal. Je jouissais, et ce n’était pas la première fois, peut-être la troisième... Eux par contre réussissaient à rester leur queue dure comme du métal, sans décharger... ils montraient leur suprématie sur moi ; eux étaient de vrais mecs capables de faire rugir une salope sans même y prendre plaisir. Quand je voyais leur visage, c’était moins de la joie que de la rage que je ...
    ... lisais dans leurs yeux, la volonté de me déchirer, de m’outrager jusqu’à ce que je crie pitié. Ces cinq hommes usèrent de tous mes trous, pendant ce qui devait être une demi-heure ou une heure, j’avais perdu la notion du temps. Tout ce que je savais c’était que c’était la baise la plus longue de ma vie. À la fin ils déchargèrent sur mon visage, ils ordonnèrent que je passe mes doigts sur leur sperme pour tout avaler. Comme une pute, je gobais leur foutre de noir, je n’avais pas honte, c’était Lila Chatte qui faisait ça, pas moi. C’était la première fois que je me retrouvais avec du foutre sur le visage. Je comprenais ce que ça avait de dégradant, ce n’était pas un acte véritablement sexuel à proprement parler. Il aurait fallu qu’ils jouissent dans ma bouche ou dans ma chatte pour ça. Tapisser mon visage de foutre, c’était comme un chien marquant son territoire, ça prouvait que j’étais vraiment une pute, leur pute prête à tout pour eux. Jamais je n’aurais pensé pouvoir me faire humilier de la sorte, mais c’était une expérience que je ne regretterais pas… À part peut-être quand je reviendrais à des partenaires monogames qui ne pourraient m’offrir une baise bien inférieure à ce que je venais de vivre. Alors là, j’aurais des regrets de ne plus pouvoir vivre ça. J’étais morte, épuisée. Mais j’avais rempli ma part du contrat avec Lila, il ne restait plus qu’à... « Bien, on se prépare pour la scène deux… ! Plus vite que ça ! » 
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