1. Souvenirs d'une autre vie (6)


    Datte: 03/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Les uns et des autres... continuité de la vie Une rechute qui ne laisse pas indifférent… La vie des uns et des autres… Maryse Le vide de la maison est angoissant. Elle a vécu des moments chauds et dès le départ des deux jeunes, je suis plongée dans le vide de la solitude. Les deux tourtereaux sont partis ce lundi matin et non pas hier soir comme Yohann l’avait initialement prévu. J’ai donc eu droit à une seconde nuit de craquements de sommier, de cris étouffés, de râles plus ou moins camouflés. Mais cette fois je ne me suis pas masturbée en entendant mon fils et son amie faire l’amour. J’ai simplement voulu profiter de ces bruits insolites, mais terriblement explicites. Au petit matin de ce lundi, les poches sous les yeux de la gamine, démontraient de manière éclatante qu’ils avaient tous les deux passés de bons moments. Yohann avec une sorte de sourire ironique n’a cessé de me fixer. Il voulait peut-être voir si j’allais réagir ou surtout de quelle manière j’allais le faire. Mais non ! Je n’ai pas bronché. Alors en remontant dans la voiture, Anne-Marie m’a soufflé deux mots à l’oreille. — Vous avez un fils… merveilleux ! Mais vous savez cela déjà depuis longtemps… Je crois que je suis… accro ! Enfin je veux dire… amoureuse. — Bon vous deux ! Pas de messes basses. Si vous avez des choses à vous dire, je peux aussi en profiter ? — Non mon fils ! C’est des histoires de femmes… Tu n’es pas ou partiellement concerné. La gamine a souri et m’a déposé un baiser sur la joue. J’en ai ...
    ... fait autant et j’ai serré mon fils dans mes bras. Le cul de leur voiture n’était encore en haut du chemin qui donne sur la nationale que déjà, j’avais presque le cafard. La roue tourne, la vie avance et c’est vrai que je dois penser à moi. Je me suis retenue pour ne pas me ruer sur le téléphone et sonner Sylvain. Lui montrer que je suis de plus en plus empressée envers lui n’est pas forcément une bonne chose. Alors j’ai astiqué, nettoyé, changé les draps de la chambre de Yohann et le temps m’a glissé entre les pattes sans pour cela que mon esprit ne cesse d’être vagabond. C’est à l’heure du déjeuner que mon amie Pauline s’est manifestée. À sa voix, j’ai de suite compris que la nuit avait dû être, sinon difficile, du moins agitée. Elle s’est invitée pour le café après le repas. Finalement je pense que c’est une bonne chose de ne pas demeurer seule. Le reste de la matinée se disperse au rythme de mon déjeuner que je prépare et celui-ci expédié, j’attends sur ma terrasse, au soleil la venue de ma blonde amie. Il fait beau, le ciel se mire dans l’onde du lac et c’est en maillot de bain deux pièces que je suis là, à écouter le chant de l’été, à me remémorer surtout ces deux nocturnes aux sons du renouveau. Elle vient d’arriver et c’est un tourbillon qui entre chez moi. Elle n’arrête pas de parler, de jubiler, de danser d’un pied sur l’autre. Je tente bien de calmer cet ouragan qui jacasse comme une pie. Enfin, ses fesses posées sur ma balancelle et moi dans un transat, je l’écoute ...
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