Souvenirs d'une autre vie (6)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... je ne refuse pas. Mes cuisses relevées, talons placés sur les épaules de cet homme qui me lime tout en douceur, je n’ai aucune raison de ne pas apprécier. Au milieu de cette baise sauvage, la pause qu’il marque simplement pour venir me lécher me fait hurler de bonheur. C’est tout bonnement merveilleux et pour la seconde fois, il me possède avec un acharnement qui m’emporte tout droit à ce septième ciel dont je ne serai jamais capable de décrire les couleurs. Mais ce soir, il ne se contente pas de cette entrée en matière pourtant bougrement agréable. Sans en avoir l’air, il me donne des conseils que je pourrais qualifier d’ordres. Le ton employé n’a rien d’obligatoire, et malgré cela, je me surprends à lui obéir aveuglément. Mise à genoux je dois sans l’aide des mains, nettoyer cette longue hampe aux veines bleues, je dois sucer ce phallus qu’il me tend. Je fais cela avec une joie défiant toute morale. Je marche à quatre pattes, chienne de son maitre et je sens que je sombre peu à peu dans cette frénésie de l’envie de sexe. Il ne dépasse aucune borne, se contente de me faire faire des choses « raisonnables ». Toujours à genoux je dois lui passer la langue entre les cuisses, la remonter bien loin dans le sillon qui sépare les deux fesses. Il me demande, sans avoir à me forcer de lui léchouiller l’anus et comme une folle, je me mets à lui donner tout ce qu’il désire. Je passe un temps plus ou moins long à avaler ses deux couilles et lorsqu’il désire éjaculer dans mon gosier, ...
... je ferme les yeux et attends sagement l’offrande, bouche béante. Le liquide un peu poisseux est abondant. Il crache dans mon palais une première rasade que je m’efforce d’avaler sans penser à rien. Puis en me tenant par les tempes, il plonge son dard le plus profondément dans mon bec. Je manque de m’étouffer, mais je garde tout, malgré les hauts le cœur qui me font presque vomir. Je deviens sa chose, son esclave et je crois que s’il me demandait plus encore, je le ferais, juste pour lui être agréable. Après l’amour nous restons sagement assis côte à côte sur son confortable divan, et calmement, devant un bon film, je lui annonce sans trembler… — Tu sais Sylvain, j’adore faire l’amour avec toi. — Moi aussi ! Je crois que tu comptes de plus en plus dans ma vie. — Demain je ne pourrai pas te voir, j’ai des obligations que je ne peux pas remettre. — Je t’attendrai. Des amis à moi m’ont invité et je ne savais pas quoi leur répondre. Je peux donc leur dire que je suis disponible ? — Ça tombe à pic alors. Bien sûr tu vas me manquer… et je préférerais… passer la soirée en ta compagnie. Mais… j’ai déjà moins mauvaise conscience de ne pas te savoir seul. — Je dois avouer que je suis mécontent de ne pouvoir te voir demain, mais puisque c’est un impératif pour toi… je vais faire contre mauvaise fortune bon cœur… Un pieu mensonge qui me met plutôt mal à l’aise, mais bon j’ai promis et pour moi, c’est sacré. Puis il ne saura jamais, et ce sera sans doute la dernière fois que je… fauterai ! ...