Souvenirs d'une autre vie (6)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Pauline et installé dans mon bec et il fait des allées et venues. Je ne contrôle plus rien, mon ventre est lui aussi pris d’assaut par les doigts de Sylvain ou de la blonde. Je suce comme je peux, tant les sensations sont fortes. Je soupire alors que les bourses noires se collent à mon menton et elles restent là de longues secondes, appuyées sans bouger. Les soubresauts de cette queue fichée dans mon gosier se font plus intenses et je sais, je sens bien qu’il va éjaculer. Je ne peux pas recracher le sperme qui m’asperge la gorge en abondance. Puis les quenottes de Pauline se font plus insistantes et elle mord presque sauvagement les pointes de mes seins. Dans ma chatte, des doigts un à un, se sont infiltrés et d’un coup j’ai l’impression que mon sexe est fendu en deux. Une petite douleur qui m’irradie dans tout le corps atteint mon cerveau. Je cesse de remuer les cuisses. Je laisse grâce à l’arrêt de tous mes mouvements la semence de Moïse descendre dans mon estomac par petites saccades. Mon souffle est totalement coupé et la chose énorme qui habite désormais mon vagin se met en mouvement. Je n’ai plus mal, et mon orgasme me surprend, m’emporte comme une lame de fond. Je suis secouée par des spasmes incontrôlables, je jouis d’une manière inouïe. J’en perds pratiquement conscience. La bite se retire de ma bouche et j’ouvre à nouveau les yeux. Le corps de la blonde est en passe d’enjamber ma figure. Le bras qui s’enfonce en moi est bien le sien. À califourchon sur mon ...
... visage, elle se frotte la fente sur mon visage et elle est abondamment mouillée elle aussi. Elle reste ainsi en équilibre sur moi, se collant la chatte littéralement à ma bouche. Et la main qui toute entière était enfouie bien au fond de mon sexe se retire brutalement. Je ne peux même pas hurler pour leur dire combien ce vide me fait du mal. Elle ne me laisse aucun répit et déjà ses mains attrapent mes talons, relèvent mes jambes le plus haut possible. Je sens une pression sur mon anus et je ne peux toujours pas prononcer un mot de refus ou d’acceptation. En une fraction de seconde, Sylvain, excité par le spectacle et les attouchements auxquels tous se sont livrés sur moi, me pénètre par la voie rectale. Je n’ai pas eu mon mot à dire ! La queue raide et longue se fraye un passage entre les fesses et je ne suis même plus en mesure de lécher ce con qui reste soudé à mes lèvres. Elle se remue, bouge ses fesses qui me collent sur le divan. Je suis leur chose, je suis… leur salope. Dans cette torpeur qui m’enveloppe lentement, une sorte de plaisir trouble revient, comme pour me propulser vers un autre orgasme. Mon cul ne me fait pas souffrir et la pine glisse dans l’étroit conduit, ouvert par ce furet qui le visite. Vaincue, je ne résiste pas ! Mais j’avoue n’avoir jamais essayé une seule seconde de le faire. Pauline a lâché mes jambes que je garde relevées et mon amant me lime lentement faisant aller et venir son chibre dans mon rectum. Les perceptions sont différentes, tellement ...