1. Hélène, 11 : la Performance


    Datte: 03/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... semble agréable. Un murmure se lève devant moi, ça y’est je suis sur la scène, le brouhaha gonfle puis s’arrête. Une main ferme me crochète le bras et m’arrache à mon amour. On me délie les mains, mais c’est pour m’attacher les bras vers le haut. Mes jambes sont écartées et bloquées. J’expose mon sexe à peine ombré Un bruit mécanique et je suis étirée. On se saisit de ma natte, et on y entrelace une corde, ma tête est tirée en arrière. On place un coussin entre mon dos et l’appareil de contention sur lequel je suis exposée. Ma poitrine est projetée en avant. Je comprends ce qui m’attend. Si je n’avais pas un bâillon boule, je claquerais des dents. Le silence n’est troublé que par le souffle des spectateurs. J’imagine mon amour, au premier rang des spectateurs. Y’a-t-il des femmes dans le public qui m’entoure, sont-elles des épouses, des mères, des soumises, des dominatrices. Combien parmi elles ont-elles déjà été suppliciées pour le plaisir de leurs amants ? Combien auront-elles envie de me succéder sur l’autel des sacrifices ? Un craquement de l’estrade, puis un léger souffle, et la première cinglée s’abat sur ma poitrine. Puis une autre, et une autre en aller-retour, faisant valser mes seins et secouant les pinces, ajoutant la douleur de mes mamelons pincés à la cuisson des lanières. Mon bourreau s’applique, visant le dessous de ma poitrine, puis il s’attaque à mes mamelons, tissant une résille rouge sur mon buste. J’essaie d’échapper au martinet, mais ma chevelure ...
    ... attachée me bloque, Le ballotement de mes mamelles entraine le balancement des pendentifs. La douleur de l’étirement s’ajoute à celle de la fouettée. Je crie sous mon bâillon. Je suis au bord de l’évanouissement. J’ai choisi l’enfer !!! Plus rien, silence. Ma gorge me cuit. Mes tétons me lancent. Puis la tension de mes bras se relâche. On dénoue le lien de ma natte, un aide libère mes jambes, je les resserre et j’essaie de me tenir debout. On détache mes poignets. Mes genoux me lâchent. Mais avant que je m’écroule quatre bras solides me rattrapent. Pierre n’en fait pas partie, je ne sens pas sa douce odeur. Je fais quelques pas, soutenue par les assistants du bourreau. On m’assoit, puis on me bascule en arrière, je suis couchée sur le dos sur un coussin. Mes poignets sont attachés à des chaines au-dessus de moi. Puis mes deux chevilles sont soulevées vers le haut, écartées, J’entends le cliquetis des mousquetons. Je me balance doucement. Une têtière soulage ma nuque et l’empêche de basculer en arrière. Mon compas écartelé offre un point de vue imprenable sur mon sexe, et mon anus. Une main fine, donc féminine dépose quelques gouttes de liquide sur ma rosette. Puis un objet métallique appuie sur mon anneau. Il coulisse doucement, dilatant doucement mon oignon. Je goutte avec plaisir cette pénétration anale que j’apprécie tant. Puis d’un coup, mon muscle se referme sur une tige plus fine. Un rosebud, un gros. Une voix douce, presque celle d’un ange. - Voilà, ma chérie, tu es protégée ...
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