Hélène, 11 : la Performance
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’un mauvais coup. Me murmure Christine à l’oreille. Elle s’éloigne, après une fraiche et légère caresse sur l’intérieur de ma cuisse. Un autre chuchotement. - Pas tout de suite, laisse lui un instant de paix. Elle profitera mieux après. Une douleur violente irradie de la face interne de ma cuisse gauche, puis de la droite. Ma torture a commencé. Les lanières impitoyables incendient mon sexe. Elles cinglent mes petites lèvres. Elles reviennent et mordent mon bourgeon, qui se dresse. Ma liqueur coule le long du périnée jusque à mon bijou. Je mouille , je mouille de souffrance Mon compas me brule, mon sexe bave, trempé par la souffrance. On me laisse balancer dans le swing, j’ai l’impression qu’on m’ a arraché mon bourgeon. Mon clitoris me lance au rythme des pulsations sanguines qui l’irrigue. Pourrais-je encore jouir des caresses buccales de mon chéri. On me délie les bras et les jambes, je n’arrive pas à les retenir, ils pendent de la balancelle. Quatre bras me soulèvent, me redressent et m’entrainent vers l’autel de mon dernier supplice. Je suis penchée sur un tréteau ou plutôt un cheval d’arçon. Mon ventre est poussé vers un coussin en cuir, mes bras sont étirés vers l’avant. Mes seins pendent sous moi. On accroche des poids à mes pinces, Je les avais presque oubliées, celles-là, mais la sensation n’est pas trop douloureuse, mes mamelons sont comme anesthésiés. Le premier coup s’abat sur une fesse, puis un deuxième sur l’autre ; Mon tortionnaire enchaine les cinglées, en ...
... prenant soin de ne jamais frapper au même endroit malgré les ruades désespérées de mon cul. Il fait une pause pour me laisser déguster cette session. Ma poitrine est aussi douloureuse, mes mouvements ont entrainé le balancement désordonné de mes mamelles lestées et pincées. Une deuxième livraison démarre, la cravache entreprend un quadrillage systématique d ma croupe. Mes hurlements sont bloqués par la boule, je pleure sous ma cagoule, je vais m’évanouir. Plus rien, mon fouetteur a interrompu mon supplice. Je geins sans m’arrêter, je sanglote. J’ai perdu le compte. Est-ce fini. Le temps reste suspendu. Une douce odeur, un souffle à mon oreille droite : - Je t’aime Pierre ! Puis un sifflement. Une douleur en diagonale en travers de mes fesses. Mes jambes me lâchent, je pends en travers de l’arçon. Mon bourreau adoré me laisse savourer cette dernière cinglée. Je suis soulevée par la taille et remise sur pied. Une fraiche caresse effleure mon cul martyrisé. On libère mes chevilles, on détache mes poignets, mais on les rattache aussitôt dans mon dos. Je sens une odeur familière, mon amour me prend par la taille pour me soutenir et me guide vers les coulisses. Des applaudissements accompagnent ma sortie, Arrivées dans la loge, mon seigneur m’assoie sur le canapé. Il m’ôte la boule, je respire à plein poumons. Mon doux sultan veut m’ôter les obturateurs qui m’aveuglent et mes menottes qui me lient. - Non laisse les moi, ne me détache pas. Embrasse-moi. Sa langue fouille ma bouche, ...