La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°740)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... va venir ce soir tard vers minuit au manoir et cela me rend si heureuse. Ma fille Clara sera couchée et dormira quand je donnerai le signal convenu au Maître pour qu’il puisse venir me rejoindre sans risque de réveiller Clara. Pour cela, je passerai par trois fois le chandelier devant la fenêtre de ma chambre pour que le Maître sache qu’Il peut entrer au manoir pour me Dominer … Plus tard, Il est minuit. J’ai juste enfilé mon peignoir de satin sur ma nudité la plus totale en dessous et j’ai juste le temps de descendre au rez-de-chaussée après mon signal quand le Maître entre sans faire de bruit dans mon salon. Il se trouve devant moi, debout sur ses hautes bottes de cuir et les bras croisés et en impose en Dominance Sa cravache à la main droite. Dégageant mes fins poignets des amples manches de mon peignoir de satin, je me tiens debout, la tête penchée en avant en signe de parfaite soumission. J’agis avec des gestes lents, précis, m'appliquant à conserver à chaque instant une attitude élégante afin de ne pas briser la sérénité de ce moment. Je ne puis m’empêcher de m’exprimer, alors que je n’y suis pas forcément autorisée : - Daignez accepter Maître, l'humble offrande du corps de Votre soumise que je suis pour Vous. Veuillez en user et abuser comme il Vous plaira. J’émets la requête d'être autorisée à me présenter à Vous, à Vos pieds, dis-je de ma voix de soumise - Que ta présence à Mes pieds soit effective, se contente de dire le Maître. - Mais avant, ne bouge pas et ...
... laisse-moi t’admirer, comme tu es belle. Dénude-toi… Montre-moi ton beau corps de femelle… Je défais donc la ceinture qui fermait mon peignoir et le laisse choir sur le sol. Puis je commence à me défaire de ce peignoir, le faisant glisser laborieusement vers le bas. Le peignoir s'étale désormais inerte à terre. Le Maître me détaille alors depuis mes petits seins dont mes tétons pointent déjà, ma peau pâle du ventre et du pubis parfaitement lisse jusqu'à la déchirure rosée de mon vagin qui s'allonge jusqu'à la sombre fissure formée par l'espace entre mes cuisses serrées l'une contre l'autre. Je ne bouge plus et reste immobile, bien droite, les yeux et tête baissés, les bras pendant le long de mon corps. Le Maître s’avance doucement et tourne autour de moi en me scrutant de la tête aux pieds. Certes j’ai appris, depuis ce 14 juillet 1914 à offrir chacun de mes orifices sans jamais rechigner, à être possédée sans ménagement et selon Sa Volonté... Et j’aime, je l’avoue, être ainsi malmenée, fessée, humiliée, enculée, baisée par Lui, mon Amant et Maître, par Celui qui a d'abord été "une aventure" d’un soir de bal populaire et qui a su provoquer en moi ce puissant désir et besoin de soumission. Je suis véritablement passée à la dépendance à l'égard d'un homme et, maintenant, je me sens devenir tout juste Son objet de plaisir, Sa chose, celle de mon divin Amant, de cet homme qui se tient devant moi et qui a tous pouvoirs sur moi. Il s’approche encore et commence par me toucher, caressant ...