La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°740)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chaque partie de mon corps, s’attardant sur ma poitrine, mon ventre. Les doigts du Marquis s'insinuent maintenant entre mes cuisses, caressant mon clitoris, caressant mon sexe... fouillant en moi sans retenue... - Ecarte plus tes cuisses... ouvre-toi plus, chienne !, me dit-il avec une voix calme, directe, péremptoire... Déjà très excitée, j’obéis instantanément, me sentant comme en dehors de moi-même en cet instant si particulier. Je me concentre, jambes écartées, pour rester immobile face à cette intrusion au plus profond de mon intimité. J’ai le sentiment de perdre les ultimes traces de dignité ou de pudeur que je croyais avoir conservées. Je suis si profondément troublée par les sensations qui m'envahissaient. De l'humiliation bien sûr, de la gène certes, mais aussi un incontestable plaisir provoqué par ce savoureux doigtage qui affole mon pouls et saccade ma respiration. Les doigts du Maître s'attardent encore un moment au creux de mes chairs tendres et fragiles et lorsqu'il les retire, ils sont souillés de ma mouille et je dois me retenir pour ne point haleter exagérément. Le Marquis Evans regarde sa main et l'approche de mes lèvres. Il promène Ses doigts sur celles-ci encore closes, puis les force du majeur et il me fait lécher ce premier doigt. Docilement, je lèche ainsi Ses doigts et Sa main afin de les débarrasser de mes propres sécrétions qui les poissent. La Main du Marquis se pose alors sur mon épaule et m’oblige à m'agenouiller, sans avoir besoin de trop ...
... appuyer, car j’ai bien compris ce qu’il attend de moi… A genoux, je garde mes cuisses aussi ouvertes que possible, ainsi qu'’il m’avait appris en juillet. Sans autre transition, il dégrafe son pantalon et le sexe du Maître se fraye directement un chemin entre mes lèvres, s'enfonçant sans ménagement au plus profond de ma gorge. Le Marquis d’Evans prend un profond plaisir à forcer ma bouche docile, à l'utiliser, à aller et venir en elle encore et encore. Il s'enfonce jusqu'à ce que son épais gland violacé heurte au plus profond de mon palais, s'y frottant un instant, avant de se retirer pour s'y enfoncer à nouveau... Le Maître sent, sait, mes difficultés à engloutir sa volumineuse verge raidie en voyant mon visage s'empourprer. A Sa façon de me pénétrer ma cavité buccale, il me coupe le souffle et j’ai à peine le temps d'avaler une goulée d'air avant qu'à nouveau la verge du Maître ne vienne de nouveau me couper le souffle. Je peine à retenir des haut-le-coeur que Le Marquis provoque volontairement, afin de tester ma motivation à le satisfaire, à lui donner un maximum de plaisir dans mon implication et dans le fait de n'être qu'un objet de plaisir, cette chose que je suis devenue et qui dépasse mes limites afin de combler les exigences du Maître. Au bout d’un moment, satisfait, Monsieur Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans se retire et recule de quelques pas afin de me contempler de nouveau, moi qui tout en essayant de conserver mon immobilisme, ne peut empêcher ma bouche de chercher ...