1. La vie de Coline (2)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Dans ma première histoire, je vous raconte comment j’ai découvert le sexe dans la salle des internes de l’hôpital où j’effectuais un stage. Je vous parle aussi de Raphaëlle et Virginie, deux filles qui étaient en salle des internes ce fameux soir. Depuis cette soirée, j’ai pris l’habitude de m’habiller plus sexy et surtout plus féminin. J’ai pris confiance en moi et en mon corps. Dans cette histoire, je vais vous raconter comment Raphaëlle, Virginie et moi sommes devenues amantes, mes premiers rapports saphiques. Nous avons toutes les trois gardé contact après notre stage à l’hôpital, ainsi qu’avec Jérôme et Joachim. J’ai recouché avec ces derniers, mais ce sera pour une autre histoire. Donc, pour en revenir à Raphaëlle et Virginie, nous nous retrouvons un vendredi soir après les cours pour aller boire un coup. Nous avons repéré un super bar à bière dans le quartier où j’habite et nous allons le tester ce soir. En arrivant, la clientèle masculine ne manque pas de nous remarquer. Trois jolies filles, une blonde, Raphaëlle, une brune, Virginie et moi qui suis rousse. — Oui, je sais, ça fait cliché, mais c’est comme ça, je n’ai pas choisi nos couleurs de cheveux à l’époque. Toutes trois en jupes courtes et chemisiers dévoilant nos atouts féminins. L’été approche et il fait chaud ce soir. Nous passons entre les tables pour en trouver une sympa et un peu isolée de la salle. En passant, nous commandons chacune une pinte de bière et allons nous installer. Plusieurs garçons veulent ...
    ... tenter leur chance, mais ce soir, c’est soirée entre fille. Pas de queue invitée. Nous rembarrons donc les dragueurs lourdeaux, gentiment au début puis plus méchamment. Cependant, certains ne comprennent pas que quand une fille dit “non”, c’est “NON!” et pas peut-être ou toute autre réponse qu’ils imaginent positive. Alors pour bien montrer les choses, Raphaëlle finit par rouler une pelle à Virginie et dit aux mecs qu’ils aillent se la fourrer dans le cul l’un l’autre pour faire bonne mesure. En les voyant se rouler ce paletot, je ne peux m’empêcher d’être un peu jalouse. Ca ne semble pas être leur première fois ensemble à ces deux-là. Nous passons la soirée à parler de trucs de filles, à boire des bières et à grignoter des plateaux de charcuteries et de fromages servis en accompagnement. Nous ferons un peu plus de sport pour faire passer ça. La soirée est bien avancée et nous bien éméchées quand nous nous rendons à mon studio d’étudiante. Nous rions, bras dessus bras dessous. Nous tanguons d’un côté à l’autre du trottoir et manquons tomber plus d’une fois. Arrivées au pied de l’immeuble abritant ma tanière, j’ai beaucoup de mal à trouver la serrure et à ouvrir la porte tellement nous rions. Dans l’entrée, nous faisons le moins de bruit possible, mais c’est difficile dans notre état. L’ascenseur est encore en panne et nous devons nous taper 7 étages par les escaliers pour arriver à mon studio. Pfff, galère. C’est en chahutant que nous entamons l’ascension. Je mène la danse, ...
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