1. La vie de Coline (2)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mais les filles derrière en profitent pour me soulever la jupe. Elles s’amusent à me pincer les fesses et à tirer sur mon string qui commence à descendre sur mes cuisses. Au troisième étage, j’en ai marre de tenter de retenir ce petit bout de dentelle. Je m’arrête, les regarde, le retire et le leur montre : — Alors c’est ça que vous voulez, les filles ? Le voilà, qui le veut… Je le leur lance et les regarde se disputer leur trophée. — Maintenant, c’est vous qui passez devant, j’ai moi aussi envie de profiter du spectacle. Et nous voilà à reprendre l’ascension des escaliers. Les étages sont très hauts, et j’ai devant moi deux superbes culs qui se trémoussent en choeur et qui attirent mes mains comme des aimants. Après le quatrième étage, je me lâche et les caresse par dessus leur jupe. Au cinquième, elles s’arrêtent, retirent chacune le string de l’autre et me les fourrent sous le nez. Ils sentent la femme et aussi un peu l’urine, mais ça ne m’empêche pas de les humer avec plaisir. Je sens mon entrejambes s’ouvrir et s’humidifier. La suite de la soirée s’annonce bouillante. Nous finissons par arriver chez moi en courant, chacune essayant de caresser les autres et de tester qui est la plus humide. Pendant que j’ouvre la porte, les deux vilaines filles ne peuvent s’empêcher de s’embrasser sur le palier, en relevant la jupe de l’autre et se touchant mutuellement la chatte. La porte ouverte, je suis presque obligée de les tirer dans mon entrée si je ne veux pas qu’elles fassent ...
    ... l’amour devant les autres portes du palier. Elles finissent par entrer en riant et m’embrassent chacune leur tour sur la bouche. Juste des baisers chastes, mais qui me font un effet boeuf. Je sens ma chatte qui se liquéfie littéralement. — Tu sens cette odeur ? Demande Virginie à Raphaëlle, ce n’est ni la tienne ni la mienne… Cette petite coquine de Coline cache bien son jeu. Raphaëlle qui est derrière moi passe sa main sous ma jupe et confirme : — Oui, c’est bien elle ! Et en riant, elle ajoute : — Va vite chercher une bassine, nous avons une fuite importante là. — Une bassine? Ne me dis pas que tu veux perdre tout ce bon jus, tu as toujours aimé la mouille bien chaude et la source, ma chérie, lui répond Virginie en posant sa main sur ma chatte dégoulinante à son tour. — Dites les filles, on reste là à deviser de mes écoulements intimes ou on passe aux choses sérieuses ? Je les entraîne vers la pièce principale de mon studio, dans laquelle mon canapé lit est ouvert. En nous y rendant, nous ôtons les quelques habits qui nous couvrent et arrivons toutes trois nues sur mon lit. Les deux autres se jettent carrément sur moi et commencent à me caresser et m’embrasser partout, surtout entre mes jambes où ma fontaine coule comme jamais je ne l’ai sentie faire. Elles me lèchent et aspirent mon jus, en s’embrassant parfois entre mes jambes, et me portent jusqu’à l’orgasme en quelques instants seulement. Je jouis en me tortillant et en mordant mon oreiller pour ne pas crier et ameuter ...