Où il est question d'un rêve et d'une réalité
Datte: 05/04/2019,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
gros(ses),
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
... propose de venir prendre le petit-déj qui sera prêt dans les cinq minutes. Je me contente de mon caleçon américain pour la rejoindre sur la terrasse. À sa demande, je lui explique le programme de la journée. Je retourne rapidement travailler. À 13 h, petit lunch rapide, puis on s’apprête pour se rendre chez les deux nanas. Un dimanche, elles devraient être là… Ma rencontre avec les deux bibendums… Je file d’abord au garage trouver une pince coupante nécessaire à mes méfaits, et je retrouve Solange déjà bien énervée par ce que je lui propose de vivre… On refait le chemin de la veille, mais dans le sens inverse. D’une part, parce que c’est plus court par là, et d’autre part, pour espérer apercevoir le Musclor des fantasmes de ma compagne d’aventures. Mais de Musclor, il n’y a point. On se dirige alors vers le jardin des deux poupées. Qui sont là et se prélassent sur des chaises longues. J’avais espéré qu’elles soient plutôt sur les couvertures, mais Solange me rassure. Elles commencent en général par les chaises longues, « afin de bien digérer », m’assure-t-elle, avant de rejoindre les couvertures, plus propices aux séances de bronzage tout partout… En attendant qu’elles s’y déplacent, je descends près de la clôture qui entoure le jardin, y remarque qu’un trou y est déjà entamé, et qu’il suffira que je l’élargisse avec ma pince pour pouvoir m’y glisser… Je coupe quelques fils, embêté de détruire la propriété d’autrui, mais en me disant que c’est pour le plaisir de tous, y ...
... compris des deux dames. Ce dont je ne suis pas encore vraiment convaincu… Je retrouve Solange plus excitée encore, mais en même temps inquiète de la tournure que pourrait prendre l’événement. Je la rassure. Je suis persuadé que le risque n’est pas très grand… Et nous attendons que les deux nanas changent de place. Ce qui arrive relativement rapidement. Nous les admirons se tartiner de crème solaire, puis quand toutes deux se décident à présenter leurs postérieurs aux rayons du soleil, je me déshabille. Je prends mon temps, car je sens le regard de Solange posé sur moi. Elle y prend du plaisir, à mon strip. Et moi aussi… Ce serait dommage de bâcler ça ! — J’y vais.— Pas de conneries ! me lance-t-elle, un regard attendri accompagnant son injonction… Et je dévale jusqu’au treillis. Je me glisse dans l’interstice suffisamment grand pour mon corps svelte. Je me trouve dans la place. Un petit signe obscène de la queue à Solange, et je me dirige à pas de loup vers les deux crêpes boursouflées. Arrivé à leur hauteur, je leur caresse les fesses. Juste le temps de les faire réagir. La première sursaute, me regarde et puis hurle. La deuxième hurle à son tour. Mais leur volume est un net désavantage en terme de réaction. J’ai le temps de me planter devant elles, de faire un mouvement du bassin qui fait voleter ma p’tite quéquette, puis de pénétrer dans la maison et d’en fermer la porte. Nous voilà tous les trois à poil. Moi dans leur maison, elles sur la terrasse. Mais elles ne restent pas ...