1. Où il est question d'un rêve et d'une réalité


    Datte: 05/04/2019, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, voisins, gros(ses), revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu,

    ... nues longtemps, elles agrippent leurs couvertures et se couvrent comme elles peuvent. Puis elles m’engueulent, les deux nanas. Me traitent de gros dégueulasse. Me menacent. Pendant ce temps, je me pavane, m’exhibe, me tripote, et attends qu’elles se calment. Comme cela dure, je me dirige calmement vers le frigo dans la cuisine, y repère une canette de soda qui me fait de l’œil, et retourne face à elles pour la déboucher et la déguster… Ce qui redouble leur courroux bien sûr… Je les laisse encore s’époumoner quelques secondes, puis, je monte à l’étage, repère la pièce qui donne sur le jardin, et y ouvre la fenêtre. Je les domine et peux leur parler, si elles m’en laissent le temps… Ce qui n’est manifestement pas dans leurs intentions. Dès que je peux placer un mot, je le tente, mais me fais rabrouer. J’insiste et tente de couvrir leurs voix en parlant négociation. Peine perdue, je redescends alors au frigo, et décide de piocher dans le plateau de pâtisseries que j’avais repéré à ma première exploration. Je commence à comprendre leur embonpoint aux deux donzelles. Elles aiment profiter de la vie… du soleil sur leurs petits culs et des éclairs (entre autres) dans leurs ventres menus… Voyant que je me régale avec ce qu’elles imaginaient avec plaisir s’envoyer elles-mêmes, leur colère redouble. Je remonte à mon poste d’observation et tente à nouveau de nouer le dialogue. Comme cela reste compliqué, je menace assez fort de m’envoyer les gâteaux un par un jusqu’à ce qu’elles se ...
    ... calment. Cela a enfin un effet. Elles maugréent entre leurs dents, mais consentent à m’écouter. Je précise d’abord. — On va négocier sur pied d’égalité. Je suis à poil, vous êtes à poil ! C’est déjà le blocage. Elles refusent de se dévoiler. Je raconte alors les nombreuses fois où j’ai pu les mater, même si ce n’est pas tout à fait vrai, les nombreuses photos à ma disposition… Mais rien n’y fait. Je redescends donc une nouvelle fois au frigo. Elles trépignent, mais gardent leurs couvertures. Je choisis une tartelette aux fraises, tout en pensant qu’il faudra qu’elles se montrent plus coopérantes, parce que moi, je ne saurai pas avaler tout le plateau. Je déguste donc cette petite tarte, en leur expliquant combien il y a des réserves dans la maison et combien j’ai tout mon temps. Elles semblent enfin comprendre et se résignent. Les plus gros nichons se dévoilent et le reste du corps de dévoile aussi. Sœurette fait de même de son côté. — Voilà qui est mieux. On va faire un échange. Je prends cette taie d’oreiller, j’y glisse deux de vos pâtisseries, et en échange, vous me remettez vos couvertures. Elles ronchonnent, mais en même temps se disent que de toute façon elles se sont déshabillées et que faire preuve de pudeur à ce stade n’a plus beaucoup de sens. Par contre, éviter que je n’ingurgite deux de leurs douceurs leur apparaît comme un bon plan. Je profite de l’occasion pour glisser quelques verres et trois bouteilles de rosé bien frais, trouvées dans le frigo, bouteilles qui, ...
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