1. Où il est question d'un rêve et d'une réalité


    Datte: 05/04/2019, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, voisins, gros(ses), revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu,

    ... trouvent-elles à cette pratique ? Je n’obtiens pas réellement de réponse. Je n’insiste pas. Les verres sont heureusement rapidement vides, ce qui permet de faire diversion. On parle vin, pendant que je les sers à nouveau. Je permets à ma bite de frôler le bras des donzelles, bras qu’elles retirent vivement… Je n’insiste pas, et relance la conversation autour du vin. Je le trouve très bon. Manifestement, je touche une corde sensible. Ce sont des bouteilles qu’elles ont ramenées de leurs dernières vacances en Provence, où elles ont un ami viticulteur… Et la conversation s’anime enfin. Il en devient presque naturel pour nous de deviser dans le plus simple appareil… La bouteille se vide quand je sers le troisième verre, j’entame donc la seconde, que l’on vide rapidement. L’alcool, conjugué au soleil, commence à faire son effet. J’apprends qu’elles s’appellent Patricia et Clémence. Patricia, celle qui a les plus gros lolos, est la plus âgée de deux ans. La maison appartient à Clémence. Elle y est depuis dix ans, et Patricia l’y a rejointe il y a cinq ans. D’autres banalités sont ainsi échangées, Merci Bacchus ! Ouvrir deux bouteilles aura suffi à rendre les deux nanas charmantes et accueillantes. Nos nudités ne choquent plus. Je décide alors d’en remettre une couche. Reparle de leur naturisme. Qu’elles ne pratiquent qu’à la maison ou à la maison de leur copain le viticulteur, quand il est absent. Je leur demande s’il ne leur est jamais venu à l’idée qu’elles puissent être ...
    ... l’objet de convoitise de voyeurs. Ça les fait sourire. Elles disent en avoir déjà repéré, mais ça les amuse plutôt. Ça les intéresse même. Elles se vivent d’ailleurs assez exhibitionnistes, mais n’ont jamais osé aller plus loin dans leurs provocations. Et allez donc ! Ce ne sont pas des vierges effarouchées ! Elles aiment se foutre à poil et être vues ! Je leur demande alors pourquoi elles ne tentent pas d’autres expériences. C’est la peur du flic qui les retient. Elles n’auraient pas envie de se faire coincer par leurs pratiques un peu perverses. Je leur propose alors mes services, qu’elles acceptent en pouffant. La troisième bouteille est vide… Elles m’interpellent. — Comment on va chercher une autre bouteille ? La maison est fermée. Elles sont écroulées de rire. Je rassemble ce qui me reste de lucidité, et je les emmène avec moi sur le côté de la maison, là où la fenêtre ouverte semble la plus accessible. Je leur explique qu’elles vont devoir m’aider et me porter jusque là-haut. Elles pouffent. On essaie. Je grimpe sur elles. Elles me poussent avec les mains pour me faire monter. Sans beaucoup de succès car nous nous rendons vite compte que nos mains sont baladeuses. Plus les leurs que les miennes d’ailleurs. Leurs doigts frôlent ma queue, puis s’enhardissent, l’agrippent, lui font faire de la gymnastique. En deux temps, trois mouvements, elle se dresse à nouveau. De nouveaux fous rires. On s’étale par terre, entassés l’un sur l’autre. On rit, et on ne rate pas l’occasion pour ...
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