Où il est question d'un rêve et d'une réalité
Datte: 05/04/2019,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
gros(ses),
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
... réfléchir. Je m’éloigne donc et en profite pour vérifier ce que fait Solange. Elle ne rate pas une miette des événements, m’adresse un pouce tendu, ce à quoi je lui réponds par un balancement du bassin et par enchaînement de quelques mouvements désordonnés mais sympathiques de ma joyeuse biroute. Solange semble apprécier. Je m’installe, assis contre un arbre, et j’attends. Ce qui permet à mon petit soldat de se calmer et d’éviter le garde-à-vous ! Les deux grasses conciliabulent en me jetant de fréquents regards. Mais je ne sais certifier, d’où je me trouve, si ce sont des revolvers ou des points d’interrogation que l’on perçoit au fond de leurs prunelles. J’imagine que l’on doit passer de l’un à l’autre. Le temps s’écoule. Un peu long à mon goût. Je hèle : — Alors mesdames, vous vous décidez ? Agitation, mais pas de réponse. Quelques minutes supplémentaires s’écoulent. Je me lève et me rapproche. — Il va falloir que vous preniez votre décision, je ne vais plus traîner longtemps par ici ! Elles grommellent, pas résolues à demander une aide à l’être infâme que je représente à leurs yeux… Un mec qui les fout à poil, qui se fout à poil, qui ose les peloter, tout ça chez elles, et qui suprême provocation, mange les gâteaux qu’elles comptaient, elles, s’enfiler sur l’après-midi ! — Bon. Je compte encore dix minutes et puis « ciao bambina ! » Et je retourne à l’ombre de l’arbre. Le délai semble les énerver plus encore. Je pense qu’elles sont vraiment inquiètes de savoir comment ...
... rentrer dans leur maison. Toutes nues qu’elles sont, elles ne doivent pas avoir les clés de la maison dans leurs poches. Si elles ont une échelle, elle doit être au garage ou à la cave. Elle est donc inaccessible. Impossible de téléphoner aussi. Seules solutions : aller voir des voisins ou me faire confiance. C’est finalement, et au bout des dix minutes, que la plus mamelue s’approche de moi pour m’annoncer qu’elles acceptent le deal. — Super, on va boire un coup pour fêter ça, et je vous promets que dans moins d’une heure vous pourrez rentrer dans votre maison. Je pense qu’elles sont surprises. Elles s’attendaient sans doute à un dénouement rapide. Mais elles se rendent compte qu’elles n’ont pas le choix… Je leur propose de nous retrouver sur la terrasse, et d’ouvrir la première bouteille de rosé. Elles prétendent ne pas avoir soif, mais je ne leur laisse que peu le choix. Et nous voilà tous trois, assis sur les chaises de la terrasse, un verre à la main, verres que je m’empresse de remplir, sans négliger de présenter mon sexe aux yeux « ravis » de mes charmantes hôtesses. La position assise sur ces chaises les rend encore plus replètes. Ça déborde de partout, ça fait des plis et des plis. On ne distingue plus les poils de leurs pubis, les tétons des seins se sentent prêts à reboucher les nombrils. Bref, on est en plein dans le meilleur des films de Fellini ! Je tente d’amorcer la conversation. En parlant naturisme. Le pratiquent-elles en dehors de leur jardin ? Quels plaisirs ...