1. L'héritier de Protée (1)


    Datte: 05/04/2019, Catégories: Divers,

    ... frémissement au niveau de mon matériel, comme si j’étais soudain serré dans mon slip… Non… Ce n’est pas possible ? Avec une sorte d’inquiétude et de frénésie, je défais mon pantalon, le baisse avec le slip. Vous devinez la suite ? Je reste bouche bée devant un sexe limite monstrueux, atteignant presque le genou, une bite énorme qui entre lentement en érection et se dresse irrésistiblement. dyxduugw Je me suis affalé dans mon fauteuil. C’est pas possible, je dors, je rêve, je vais me réveiller. Mon pantalon affalé sur mes chaussettes, je contemple effaré ce sexe énorme dont l’érection semble lui avoir fait prendre quelques centimètres de plus et dont le bout repose sur mon thorax. J’ai jamais vu çà. J’ai hésité à le toucher, et pourtant les sensations sont identiques dans mes souvenirs, sauf que les deux mains superposées, il y a encore un large bout qui dépasse. Timidement, presque par réflexe, j’ai commencé à me masturber. Et quel plaisir d’être ainsi en érection parce qu’à soixante-quinze ans voyez-vous… J’ai même fait un truc qui n’était qu’un fantasme impossible profitant de la taille de l’engin, une auto-fellation… Je dois avouer avoir eu a quelques reprises des pulsions homosexuelles, mais je n’ai jamais eu l’occasion ou le cran de sauter la pas. Autant dire que c’est ...
    ... avec une légère appréhension que j’ai d’abord mis un petit coup de langue sur le gland… puis plus franc… avant de - wahou ! - le prendre en bouche sur une dizaine de centimètres. Non seulement je retrouve les sensations que me prodiguaient mon épouse – paix à son âme – mais en plus je ressens une monstrueuse excitation de sucer une bite, fut-elle la mienne ! Je suce avec délice, m’amuse à mordiller le gland, fait des tours et des détours avec ma langue, laissant de longues coulées de salive sur la tige, quel pied et surtout depuis si longtemps ! La jouissance me prend presque par surprise. Toute la vigueur de ce membre tout neuf se déchaine d’un seul coup. J’en prends plein la bouche. De surprise je me redresse, et les jets se succèdent, m’inondant le visage, le cou, le torse… La jouissance me laisse épuisé, au bord de l’évanouissement, le cœur battant… Je vais tourner de l’œil… Dans un réflexe, presque malgré moi, je pense à Protée et ses recommandations. - Protée, si possible, redonne moi mon cœur de jeune homme… et guéris mes rhumatismes ! Un frisson me parcours la poitrine… et mes membres. Je me sens subitement mieux, comme çà fait longtemps que je ne l’ai été. Je me relève avec une facilité déconcertante. Je n’éprouve aucune douleur. J’y crois pas. Et pourtant… A suivre 
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