1. La femme en petite tenue...


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    En cette nuit chaude d’été, je roulais tranquillement pour rentrer chez moi, quand je fus interpelé par des lumières venant du lotissement sur ma gauche, celui-même où demeurait Lisa, une collègue de boulot. À cette seule pensée, une vive envie d’aller lui rendre une petite visite me submergea. Un peu plus loin sur la route, j’ai bifurqué pour me rendre dans la direction souhaitée. Parmi les trente pavillons implantés, un seul m’intéressé celui auquel je venais de stopper devant la grille. D’un rapide coup d’œil je m’aperçus qu’aucune lumières filtrées de travers les volets. Avais-je fait ce petit détour pour rien ? Me demandais-je. Un peu débité, je mis tout de même pied à terre et je me suis avancé jusqu’à la sonnette grâce aux lumières de mes phares. J’ai enfoncé de mon index le bouton. Aucune âme qui vive ne répondit à mon appel. Le doute était levé, la gentille Lisa n’était pas chez elle. Mais alors que j’allais remonter dans ma voiture, mon regard fut comme accroché par le pavillon voisin. Dont une faible luminosité produite sans doute par un écran de télévision éclairée une femme assise. Mais fait irréelle, elle était en petite tenue. Poussé par une curiosité inexplicable, je m’avançais prudemment jusqu’à l’ouverture. J’aperçus un salon au décor rustique. Les meubles étaient nombreux. Canapé, table basse et un fauteuil, là-même où était installée la femme vue précédemment. La quarantaine, rousse. Loin d’être une beauté fatale, elle avait tout de même du charme dans à ...
    ... un soutien-gorge qui avait du mal à contenir des seins d’une incroyable opulente. Un désir brutal me traversa l’esprit. Je ne pus résister de sortir ma verge de son nid douillé et je de l‘enrouler de mes doigts. M’effleurant les couilles avec l‘autre main. Je ne sais pas ce qu’elle regardait mais cela avait l’air de l’émoustiller. Au point d’écarter une partie de sa culotte pour effleurer son clitoris les yeux rivés sur l‘écran. Avec sa deuxième main, elle se malaxait les seins assez durement sous sa coque en dentelle, pinçant parfois le bout de ses tétons. Instinctivement, mordu par l’excitation que j‘éprouvais devant une telle exhibition, j’ai accéléré le mouvement de mon poignet, sans me soucier de ce qui se dérouler autour de moi. Et cela m’a été fatal. Avant que je réagisse, une main se posa sur son épaule. - Elle te plaît ? Me fit une voix grave. Que dire dans ces moments, je vous laisse deviner ? - Je… je m’excuse… - Ce n’est pas ce que je t’ai demandai. Je t’ai dit si elle te plait. - Oui… oui, bien sûr… répondis-je en replaçant maladroitement ma verge dans le jean. - Tu la trouves comment ? - Appétissante ! Le seul mot qui me venait en tête à cet instant. Priant le bon Dieu de n’avoir rien pris dans la gueule jusqu‘à maintenant. - Tu déconnes ? - Non, je suis parfaitement sérieux. Elle me fait bien bander. - Ah oui ! Tu ne déconnes pas ? M’interrogea-t-il en fixant la femme sur le fauteuil en train de se toucher. - Comme 1 et 1 font 2. Répliquais-je, réconforté de ...
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