1. La femme en petite tenue...


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... le buste. Ses mamelons ressemblaient à des tétines de biberon au milieu d’aréoles marron très foncées et larges comme des petites soucoupes. Le mari glissa ses bras sous ses aisselles et lui palpa les seins. Elle jeta un regard affolé dans ma direction. Ses mamelons commencèrent à se dresser. Il les pinça doucement, les faisant durcir. Elle protesta d’une voix faible, comme si je ne devais pas entendre. - Je t’en prie ! Il me prit à témoin. - Figure-toi qu’elle fait un complexe à cause de ses gros tétons. Comme tu vois, ils sont vraiment très gros, et très durs… Cramoisie, elle ferma les yeux. Des gouttes de sueur coulaient sur sa figure. Sa poitrine se soulevait à un rythme précipité. Cruellement, il lui tordit les mamelons sur eux-mêmes. Elle poussa un faible cri. - Fous-toi à poils. Avant de poursuivre son déshabillage, elle marqua une nouvelle hésitation. - Je t’en prie, pas devant... - Allons, allons pas de façon. Je sentis ma queue durcir, alors qu’elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes, dévoilant un ventre bombé couvert de boucles rousses et fournies. Les bords humides et minces du sexe bâillaient. Après l’avoir enjambée, elle se redressa et mit les mains derrière le dos, les yeux baissés comme une écolière prise en faute. Ses mamelons avaient doublé de volume. - Tu vois quand tu veux. Mets-toi sur la table. Elle se le fit pas dire une seconde fois, elle prit place sur la table, jambes repliées et genoux écarté. Les lèvres de son sexe s’ouvrirent un peu ...
    ... plus, montrant l’intérieur rouge vif au milieu des poils roux. Il la tira par les hanches, lui amena les fesses au bord de la table. D’une main preste, il ouvrit sa braguette, sortit sa queue courte. De son gland décalotté, il frotta les nymphes puis enfonça le bout de sa queue dans le vagin. Elle donna des coups de reins, s’efforçant de s’empaler sur la bite qui la pénétrait à peine. Elle gémissait et décollait ses reins du plateau par saccades. - Oui… Oui baise-moi… D’un mouvement continu, il enfonça sa queue jusqu’au fond. Je sentais ma verge se raidir par saccades. N’y tenant plus je sortis ma verge de ma braguette. Je la serrais à pleine main en m’efforçant de maîtriser les soubresauts qui la raidissaient. Tout de suite il se mit à aller et venir vivement. Les plaintes de la femme devinrent plus sourdes. Elle se crispa, la tête en arrière, la bouche ouverte. Le mari continua à la baiser. Chaque coup de reins faisait naître un bruit mouillé dans le bas-ventre de sa femme. En jouissant, il la prit par les hanches et ne bougea plus, éjaculant au fond d’elle, alors que je cramponnais ma verge, il me fit signe de la tête, d’approcher. - Viens par ici mon gars. Soulage tes couilles ! Vas-y… c’est le moment ou jamais ! La femme reprenait difficilement son souffle. Je l’obligeais à descendre de la table. Je lui fis prendre la position désirée. Pencher en posant ses mains sur la table. Elle se laissa guider, en laissant se balancer ses seins devant elle. Je glissais une main entre ...