1. Voyage en guyane


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    En tant que médecin épimiologiste, j’ai fait de nombreuses visites dans divers pays ou contrées dépourvus du moindre intérêt touristique, avec parfois même une civilisation très peu évoluée ; l’un d’eux a été l’occasion de découvrir que les « on dit » ne se sont pas toujours vrais, parfois très contraires. Et mon voyage au fin fond de la Guyane en a été un exemple. Cela faisait plusieurs jours que nous étions en pleine forêt, un petit groupe de 5 personnes, en plus de moi, à savoir, mon assistant (qui assurait en meme temps la traduction) et quatre indigènes, chargés à la fois du matériel et surtout de la sécurité. Quatre gaillards, ne portant pour tout vêtement qu’un pagne, ne cachant que très peu leurs attributs, dont le sexe était maintenu par une sorte de cordelette fixée à la taille, mais il était facile de deviner que leurs mandrins étaient de belle taille, avec de lourdes couilles qui ballotaient lors des marches. A la tombée de la nuit, le camps se formait autour du feu , qui brulait tard dans la nuit ; les indigènes, leurs taches accomplies, se réunissaient en buvant une décoction faite à base de plantes qui cueillaient dans la forêt ; et j’avais assez vite constaté qu’après , leurs sexes , non seulement n’étaient plus attachés, mais que leurs tailles étaient fortement augmentées ; en gros je pense que cette boisson les faisait bander. Et si je suis hétéro, il n’en reste pas moins que la vue de ces queues bandées, arrivait à me donner des envies , et que dans ma ...
    ... tente, je me livrai à une bonne séance de masturbation. Alors qu’un soir, réfugiés sous une grande toile, en raison de la pluie, c’est finalement avec eux que je passais la soirée, avec le même rituel devant moi ; une folle envie a traversé mes pensées : boire leur breuvage pour vérifier si l’effet serait le même sur moi. Manifestement ils hésitèrent avant de se plier à ma demande, mais déterminé, je pus enfin en avoir ; il ne fallut pas longtemps pour que l’effet se fasse sentir et comme pour eux, je me mis à bander, fait visible sur la tension de mon short, d’autant plus que je ne portais pas de sous vêtement. Le bout de mon gland, pointant à la lisière du short fut rapidement visible, sous le regard hilare de mes boys. Que faire, me retirer et être ridicule ou assumer ma décision et rester avec eux et continuer la soirée avec eux, ce que je n’avais encore jamais fait. Lorsqu’ils ont vu que je restais, leur attitude a changé, et sans tenir compte de ma présence, ils ont quitté leurs pagnes, dévoilant ainsi la totalité de leurs sexes, fièrement tendus, puis sans aucune gêne, ils se sont mis à se branler, psalmodiant en cœur. C’est alors que l’un d’eux me fit signe d’en faire autant. Dans mon ventre une douce chaleur prémice d’un plaisir, mais aussi l’hésitation de me livrer devant eux ; et pourtant, ce n’était pas l’envie qui me manquait. Voyant mon hésitation, m’apportant un nouveau du breuvage, il a tiré sur le short, découvrant le vit bien bandé et prenant ma main, il l’a ...
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