1. Voyage en guyane


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... matin, rien n’en a paru ; les hommes ont fait leur travail sans problème, seul mon adjoint a eu une petite remarque « tu as le visage fatigué, le breuvage a du faire son effet « et il s’est remis au travail. Le soir alors que nous finissions de ranger nos expérience, je l’ai pris à part : « Tu étais au courant de leur pratique ? « Bien sûr, j’en ai souvent profité ; et toi finalement tu as aimé ? « Oui avec un seul regret, j’aurai aimé gober leurs sexes, mais ils ne m’ont pas laisser faire « cela ne fait pas partie de leur habitude, et moi aussi je trouve cela dommage, mais si cela te manque, tu peux me sucer sans problème » ; et il se mit à rire avant de s’éloigner. La nuit venue, j’ai hésité à rejoindre le reste de l’équipe, un peu gêné. C’est mon adjoint, lui aussi indigène, qui est venu me chercher et me proposer de me joindre à eux avec les même coutumes, c’est-à-dire porter le pagne, m’associer à leur repas, puis ensuite à leur coutume du breuvage, avec très certainement, si cela ne me gênait pas, de participer à leur acte sexuel. Pour moi, l’envie est très grande, non seulement de me joindre à eux , mais surtout d’être à leur disposition ; ils m’ont permis de découvrir ma nouvelle personnalité, celle d’un bisexuel, ; j’ai envie de les sentir en moi, de m’offrir à leurs queues , de jouir sans contrainte, libre de mon corps, sachant aussi que très certainement, mon adjoint va y participer et sans doute me soumettre aussi, car il a compris ce matin mes envies. Avant le ...
    ... repas, il m’a procuré un de leur pagne, lui aussi revêtu de même ; il était visible que l’effet était le même sur lui, à savoir il bandait et c’est ainsi que nous avons pris notre repas en commun, suivi très vite ensuite du breuvage manifestement aphrodisiaque ; l’effet a été immédiat sur tous et c’est six sexes bandés qui ont surgit sous le mince tissu, très vite retiré. Alors que les indigènes commençaient à se masturber, mon adjoint s’est rapproché de moi, et pointant sa queue devant mon visage, d’un ton autoritaire il m’a dit de le sucer. Courte, mais très épaisse, elle se dressait fière devant ma bouche et après un regard vers les autres, je l’ai embouché, l’enfonçant profondément dans ma gorge. Empoignant ma tête, il s’est branlé entre mes lèvres, m’obligeant à faire face aux autres , sans doute pour prouver sa domination sur moi ; puis en dialecte , il s’est adressé à l’un d’entre eux qui est venu derrière moi, et sans hésitation, il s’est planté entre mes fesses, son gland me perforant l’anneau sans aucune préparation ; le douleur , intense m’a vrillé le ventre , mais je ne peux crier car la queue me remplit toujours la bouche ; pris entre les deux sexes, je ne peux que me livrer ; je me sens devenir une petite lope, désireuse de possession masculine, prenant de plus en plus de plaisir à me sentir enculer. L’homme y va généreusement et ses coups de rein me propulsent vers la bite dans ma bouche. Les autres se branlent autour de nous, puis deux d’entre eux s’accouplent à ...