1. Sandra oublie Delphine


    Datte: 07/04/2019, Catégories: ff,

    ... Je jouais la naïve, genre « Tu n’étais pas l a soirée de Marion ? » Elle dit que si, et rapidement nous devisions comme deux amies que nous n’étions pas encore. Le cours du matin étant peu fréquenté, nous étions seules dans le vestiaire, et Élodie se dévêtait tout en me parlant. J’avais du mal à ne pas la mater car son corps me rappelait celui de Delphine, avec la même poitrine menue mais aux petits bouts, et les mêmes fesses magnifiées par un string qui resta hélas en place tandis que ma nouvelle copine entrait dans une cabine de douche. Je fis de même dans une cabine plus éloignée et me savonnai nerveusement, résistant à la tentation de caresser mes seins qui ne demandaient que cela. Je fis vite mais pas assez, car à ma sortie Élodie était déjà vêtue d’une robe grise si légère que je devinai l’absence de soutien-gorge. Je masquai mon trouble que la belle ne remarqua pas, quittant déjà le vestiaire avec un sourire d’excuses absolument craquant. — Désolée, je dois filer. Je t’ai laissé mon numéro de portable dans tes chaussures de sport. À plus ? Bises ! Je restai comme une conne, me consolant avec le numéro de la belle brune qui déjà me rendait dingue ! J’étais prise à mon propre piège, et le pari qui paraissait drôle au départ me prenait la tête désormais. Vite rhabillée, je quittai le club sans un regard pour les autres membres, au grand dam du beau prof blond que je ne rendais pas indifférent si j’en jugeais les regards lors du cours de RPM. ______________________ Les ...
    ... jours passaient, et je me retenais de recontacter Élodie. Je ne voulais pas prendre le risque qu’elle parlât de moi à son mec, voulant éviter à tout prix que celui-ci révélât le pari à sa belle. Mais le temps passait : le mois prévu pour la réalisation de mon défi filait vite… J’allais devoir inviter ce connard à dîner si je ne me bougeais pas les fesses ! Encore une fois le hasard me donna un sacré coup de main ! Invitée par des copines à une soirée dans un bar branché du centre-ville, je faillis mourir de joie lorsqu’Élodie me sauta au cou pour me taper la bise. Elle aussi de sortie (sans son mec, a priori !), elle m’avait reconnue et abandonna vite sa bande de potes pour papoter avec moi, pour mon plus grand bonheur. La foule bruyante nous forçait à nous parler très près l’une de l’autre, me donnant ainsi l’occasion de frôler la belle rendue encore plus désirable par sa minijupe noire et son débardeur moulant. Élodie avait visiblement déjà bien commencé l’apéro : les yeux brillants et la parole facile, elle était toute guillerette. Cela m’allait parfaitement et je prenais du plaisir à être proche d’elle. Si proche d’ailleurs que je sentais son odeur légèrement teintée de transpiration tant il faisait chaud dans ce bar. Nous étions bousculées au gré des courants de consommateurs qui désiraient atteindre le comptoir. Elle dut en avoir marre également car elle me prit la main, m’entraînant à travers la foule. — Viens, me dit elle. Le sourire aux lèvres, je ne lâchais pas ses ...
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